Fév 062024
 

Festival UniverscÈnes 2024 17ème édition /Cosmicomics d’après Italo Calvino

Spectacle en italienne avec surtitrage en français

A la Scène de la Fabrique UT2J

et au Centre culturel des Mazades

Compagnie I Chiassosi

28 et 29 février – la Fabrique – UT2J

29 mars – La Gare aux Artistes

 

Présentation de la pièce :

Qfwfq a toujours été là, partout et tout le temps.

Alors, il essaie de nous faire imaginer l’inimaginable histoire de l’Univers.

Depuis le début, quand il n’est pas encore né, ni l’espace, ni le son, ni les couleur… où tout est réduit à un point, où la forme des mondes n’est pas définie, jusqu’à ce que les années-lumière séparent des nouvelles planètes…

Et il nous raconte les aventures, les rencontres et les tentatives de vivre ensemble dans un embryon d’univers qui ressemblerait pourtant au nôtre.

Un défi théâtral – comment représenter ce qui n’est pas représentable – et une réflexion philosophique – que sommes-nous face à l’immensité de l’espace et du temps ?

Librement adapté du recueil Cosmicomics (1965)

 

Présentation de l’auteur :

Italo CALVINO (1923-1985) est un des plus grands écrivains du XX siècle. Romancier, nouvelliste, essayiste, membre de l’OULIPO, Calvino a été un inventeur d’univers littéraires et un expérimentateur d’écritures novatrices. On peut rappeler La Trilogie des ancêtres (Le Baron perché, Le Vicomte pourfendu, Le chevalier inexistant) qui reprend le registre du conte philosophique, ou encore les recueils Les Villes invisibles, Cosmicomics dans lesquels il explore des mondes lointains, au-delà de l’espace et du temps, pour mieux parler de l’être humain, à la fois naïf, égaré, énervant et attachant.

Jan 232024
 
Du 11 janvier au 3 Février
La Compagnie Les Amis de Monsieur vous invite à découvrir son tout nouveau spectacle « Novecento » à partir du 11 janvier
Années 1930, en plein océan Atlantique résonne une musique entre New York et Liverpool : le sound de l’inimitable Atlantic Jazz Band. A bord du Virginian, paquebot qui relie l’Europe à l’Amérique, Danny Boodman T.D Lemon Novecento joue du piano, il joue une musique particulière et envoutante comme l’écho de l’océan… Il est né sur ce bateau et il n’a encore jamais mis le pied à terre. Dans le port de New York, l’ancien trompettiste du groupe, Tim Tooney, raconte l’histoire d’un pianiste hors notes.
Réservations : https://billetterie.festik.net/theatre-du-chien-blanc/ ou sur place à la billetterie les soirs de spectacle à partir de 19h30

 

Novecento
Auteur : Alessandro Baricco
Mise en scène : Jean-Paul Bibé
Avec : Boris Pomier
Monologue poétique
Durée 1h30 – Tout public
🌸 Représentations les 11, 12, 13, 18, 19, 20, 25, 26 et 27 janvier et 1, 2 et 3 février 2024 à 20h30
🌸 Petite restauration et buvette à partir de 19h30
📍 Renseignements au 05 62 16 24 59

 

Avr 112023
 

A l’occasion de ses 30 ans (1992-2022) la troupe étudiante I Chiassosi est très heureuse de vous inviter à son projet théâtral :

I TEATRANTI (d’après la pièce I Giganti della montagna de Luigi Pirandello)

Les représentations auront lieu le 13 et 14 avril à 20h30 à la Gare aux Artistes de Montrabé.


Réservation à cette adresse: https://my.weezevent.com/festival-universcenes

Réservation à cette adresse mail également : antocapra@yahoo.fr

Participation libre.

Jan 102023
 

Théâtre GARONNE: 15 > 18 MARS, Daria Deflorian / Antonio Tagliarini présentent leur spectacle

“NOUS AURONS ENCORE L’OCCASION DE DANSER ENSEMBLE” d’après le film « Ginger & Fred » de Fellini en programmation le 9 mars à la Cinémathèque de Toulouse

Spectacle en italien, surtitré en français

Offre spéciale pour les adhérents de L’Italie à Toulouse ! : 15€ (au lieu de 20€) / 10€ moins de 30 ans (au lieu de 12€) / durée : 1h30

 

 

 

 

 

 

 

 

 

IMPORTANT: Si vous réservez pour le vendredi 17 Mars, à l’issue du spectacles vous pourrez rencontrer les acteurs et également rester boire un verre au bar.

Appelez donc sans attendre la billetterie (05 62 48 54 77), dites être membres de l’Italie à Toulouse et profitez de l’offre spéciale

Il est préférable de réserver à l’avance au risque d’y aller sur une soirée déjà complète !

Offre tarifaire aussi pour le film de Fellini « Ginger et Fred » programmé le 9 Mars à la Cinémathèque de Toulouse
Si vous achetez votre billet de théâtre à 15€ (réduction sur présentation de votre carte d’adhésion à l’Italie à Toulouse) et vous allez le chercher avant la date du film, le 9 mars vous pourrez le présenter à la cinémathèque et pouvoir ainsi bénéficier de la réduction pour le film

LA PIÈCE:

Sur scène, l’union des générations, trois couples de trentenaires, quadragénaires et sexagénaires traversent les années et tissent l’histoire (d’un seul et même couple). Librement inspirée du film de Federico Fellini Ginger et Fred, la pièce déploie tout en délicatesse le parcours d’artistes, animés par le désir de dialogue comme possibilité d’avancer ensemble.

Après Quasi niente, Daria Deflorian et Antonio Tagliarini voulaient aborder l’intime de façon plus grande et plus folle, en lien avec ce que l’artiste en représentation donne à voir de lui-même : qui de plus indiqué alors que Fellini pour accompagner cette exploration ? Dans Ginger et Fred, Giuletta Masina et Marcello Mastroianni sont Amelia et Pippo, deux modestes danseurs de claquettes vieillissants ayant à leur répertoire une imitation du mythique duo hollywoodien. Désormais séparés, ils sont invités à danser pour une rétrospective télévisée où la société du spectacle a détrôné l’art qu’ils connaissaient. Un film crépusculaire, saisissant entre la lumière aveuglante des projecteurs et l’obscurité d’une coupure d’électricité, les différents visages de l’artiste. Comme ils l’avaient fait dans Quasi niente, Daria et Antonio ont en effet poussé plus loin la diffraction des identités en faisant cohabiter sur le plateau trois générations différentes. Une façon de suivre à travers les corps ce qui a changé en eux et dans le monde autour. Des corps qui parlent, qui chantent, et qui dansent bien sûr. Une façon de s’immiscer dans cet espace mouvant entre l’image et l’identité, qui ne peut se révéler que dans la relation à l’autre. Et une vibrante mise en abime de la vie d’artiste depuis les coulisses.

 

 

Jan 052023
 

Lundi 23 janvier 2023 – L’exil italien en France 18h – La Fabrique

Causerie dessinée autour de la question de l’exil italien en France

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Intervenant.es

Laure Teulières – Maîtresse de conférences en histoire contemporaine (UT2J)

Philippe Foro – Maître de conférences en Histoire contemporaine (UT2J)

Emilia Hery – Maîtresse de conférences en en histoire de l’art et en arts plastiques (UT2J)

 

Modération : Rocco Femia – Rédacteur en chef de la revue italienne Radici

 

Illustrateur live : Raphael Rossi

 

 

Mardi 24 janvier 2023 – L’exil italien en France

12h45 – La Fabrique

BD-CONCERT « COME PRIMA » par la compagnie Splendor In The Grass (Bordeaux)

 

Quand musique et images de bande dessinée s’unissent pour donner vie au récit de Come Prima d’Alfred (Grand prix BD Angoulême 2014).

La bande dessinée COME PRIMA de l’auteur bordelais Alfred reçoit en 2014 le prestigieux Fauve d’Or du festival international de bande dessinée d’Angoulême.

Le groupe bordelais Splendor in the Grass décide dans la foulée de créer un BD-Concert dédié à COME PRIMA, Alfred accepte tout de suite leur proposition. Le succès est immédiat.

Mais quel est le principe d’un BD concert ?

La création vidéo reprend la quasi intégralité des images et des textes de la bande dessinée d’Alfred projetés sur un écran géant. Les cases de la bande dessinée défilent, empruntant au cinéma ses enchainements de plans : zooms, travellings, fondus enchaînés, etc.

Sur scène, à côté de l’écran, dans la pénombre, les musiciens de Splendor in the Grass jouent au rythme du récit une musique de compositions originales. Pendant 90 minutes, le spectateur devient lecteur, emporté par une émotion à la fois visuelle et musicale.

Ce spectacle transcende l’émotion de la lecture et permet aux spectateurs une redécouverte de l’œuvre d’Alfred. Une expérience rare et intense.

 

LIEN EVENEMENT FB

 

 

 

 

Sep 052022
 

Tony Di Stasio jouera son spectacle « Comme à la maison-fatto in casa » à Toulouse au Théâtre LA VIOLETTE fin septembre

Vous retrouverez la Mamma, i Nonni, lo Zio, i Cugini et autant de personnages tous aussi déjantés les uns que les autres dans cette chronique du bonheur pleine de rire, d’amour et de chansons.
Il y évoque de façon humoristique, la chance que nous avons d’avoir grandi dans la double culture Franco-Italienne.
Parce qu’on ne peut oublier notre merveilleux pays d’origine et on ne peut que remercier notre beau pays d’accueil.
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HORAIRES SPECTACLES:
Jeudi 29 à 19h30
Vendredi 30 à 15h30 et 19h30
Samedi 1er octobre à 20h45
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THEATRE DE LA VIOLETTE : 67 Chemin Pujibet, 31200 Toulouse
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A noter : une séance est prévue vendredi 30/09 à 15h30.
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La direction du théâtre propose un tarif préférentiel pour les associations italiennes locales à 11€.
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Il suffit de cliquer sur le lien ci-dessous et de choisir le tarif en question :

Tony Di Stasio +33 6 99 35 12 91

Avr 222022
 

Vendredi 29 et samedi 30 avril 2022 à 20h30, Théâtre du Pavé – 34 Rue Maran – 31400 Toulouse

Durée : 1h20 | Grande salle

Les mots et la musique d’un amour entre une jeune femme à Paris et son grand-père italien.

Léa est une jeune parisienne dynamique ; Luciano, son grand-père italien habite la campagne lyonnaise. A la veille des vacances de Léa, un événement inattendu va les conduire à se retrouver.

Il Mio Sole est un spectacle musical à destination des italiens, des immigrés, des petits-enfants devenus grands, des rêveurs. Mais c’est surtout un spectacle pour les amoureux du texte, les amoureux du jeu entre énergie brute et moments choyés.

Pas une seconde de répit avec Rachel Bulgarelli, tantôt à la voix tantôt au violoncelle. Elle nous fait virevolter de personnage en personnage en passant allègrement du présent au passé accompagnée par le guitariste Jeff Guilloux.

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Au fil du spectacle, sa quête devient nôtre : Comment le souvenir et le langage façonnent-t-il le rée Texte, jeu, mise en scène, violoncelle, composition, arrangements Rachel Bulgarelli /
Guitares, cavaquinho / composition, arrangements Jeff Guilloux / Sound design Éric Avondo /
Création lumière Sylvain Dubun / Regard extérieur Claire Chaperot
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Avr 052022
 

Le 22 Avril à 15h au 35 ter rue Gabriel Peri
Réservations : litalieatoulouse@orange.fr

 

Eduardo De Filippo, 1900-1984 di Enzo Biagi

 

Quando è morto, gli hanno fatto un monumento di parole. Forse troppe, per uno che si faceva notare soprattutto per i lunghi silenzi e inventava strampalate figure chiuse in un tenace mutismo, che per esprimersi senza troppi discorsi ricorrevano ai botti.

Eduardo aveva il pudore dei sentimenti e odiava gli sproloqui, i punti esclamativi, gli effettacci e i lustrini: le sue ultime recite sembravano sacre rappresentazioni.

Ritrovo nei miei taccuini certi momenti dei nostri incontri; gli era più facile concedere un invito a pranzo che un’intervista. Ma le cose che diceva erano illuminanti.

 

La prima impressione di una platea: «Ero piccolo, sbigottito: uno splendore abbagliante. Mi trovai là da un momento all’altro: lo spettacolo è luce, è sorpresa. Non finirà mai. Fin quando ci sarà un filo d’erba sulla terra, ce ne sarà uno finto sul palcoscenico. Teatro significa vivere sul serio quello che gli altri nella vita recitano male».

Spiegava il segreto della sua arte: «Io osservo, osservo continuamente. Il teatro porta alla vita e la vita al teatro. L’umanità, attraverso i fatti che evolvono continuamente, ci fornisce modelli che ci meravigliano sempre: nuovi, pazzi, imprevedibili, che ci danno poi i personaggi. E le mie commedie sono tragedie anche quando fanno ridere».

La sua idea dell’attore: «L’uomo, qualche volta, è come le scimmie, che hanno il gusto dell’imitazione. Le hanno viste che si mettevano addosso rafia e fiori e ballavano. Ma se è vanitoso, è solo uno che ha la faccia tosta di salire in alto, su delle assi inchiodate, per farsi vedere. L’artista è un’altra cosa».

I tempi dell’avanspettacolo: «Scrivevamo i nostri copioni in camerino, negli intervalli, e la testa rimbombava dei dialoghi e dei sospiri dei primi film sonori. I napoletani sono esigenti: ogni settimana bisognava cambiare repertorio.

E sono terribili: ti capiscono prima che parli e devi stare molto attento per poterli imbrogliare. Anche Natale in casa Cupiello era un atto unico, bellissimo. Avevamo in cartellone Sik-Sik l’artefice magico, e per rappresentarlo erano assolutamente indispensabili un colombo e una gallina. Una notte, spinti dall’appetito, ci rivolgemmo a un trattore perché ci cucinasse i due cari compagni di lavoro. Li mangiammo, ma con molta pena».

Il successo: «Nel 1942, con i miei fratelli decidemmo di passare proprio al teatro, con una compagnia nostra e con copioni scritti da noi. Debuttammo a Milano, all’Odeon. Ma chi ci conosceva? Le poltrone erano per metà vuote, però alla fine il pubblico urlava: “Viva Napoli”. Renato Simoni fece un lungo articolo e nei giorni seguenti tutte le file si riempirono. Cominciò la conquista del Nord».

Il più bel ricordo: «È nella mia città che ho provato la commozione più profonda. Fu alla prima di Napoli milionaria. C’era il fronte fermo a Firenze. C’era la fame e tanta gente disperata. Ottenni il San Carlo per una sera. I professori d’orchestra, per assistere allo spettacolo, si erano infilati nel golfo mistico. “Vedrete che ci diffamerà” diceva qualcuno allarmato dal titolo.

«Io facevo Gennaro Esposito, un povero e bravo uomo, che viene portato via dai tedeschi e quando ritorna trova un figlio ladro, la moglie che fa il mercato nero, si è arricchita, lo ha tradito, e la figlia ha fatto l’amore con un soldato americano.

«Sono dei cinici, ma Gennaro Esposito, con tolleranza, con comprensione, fa capire ai familiari che non è finito niente, che la vita continua. Recitavo e sentivo intorno a me un silenzio terribile. Quando dissi l’ultima battuta: “Deve passare la notte” e scese il pesante velario, ci fu silenzio ancora, per otto, dieci secondi, poi scoppiò un applauso furioso e anche un pianto irrefrenabile; tutti avevano in mano un fazzoletto, gli orchestrali si erano alzati in piedi, i macchinisti avevano invaso la scena, il pubblico era salito sul palcoscenico, tutti piangevano e anch’io piangevo, e piangeva Raffaele Viviani che era corso ad abbracciarmi. Io avevo detto il dolore di tutti».

Il suo mondo: «Napule è nu paese curioso/è nu teatro antico […] sempre apierto:/ce nasce gente ca senza cuncerto/ scenne p’ strade e sape recità».

 

 

Fév 072022
 

L’Europe fait son théâtre à Toulouse !

Dans le cadre du festival de théâtre étudiant Universcènes – la compagnie de la Section d’italien I Chiassosi propose un spectacle de théâtre contemporain en langue italienne à la Scène de la Fabrique de l’Université Toulouse Jean Jaurès.

 

Cette année deux courtes pièces

« Focus Group » de Marco Di Stefano et

« La conseguenze del surriscaldamento globale » / « Les conséquences du réchauffement climatique » de Giulia Lombezzi.Focus Group


Elles seront présentées le jeudi 10 mars à 19h et
le vendredi 11 mars à 12h45 et à 19h à la Fabrique de l’UT2J.

Un représentation supplémentaire sera donnée le mercredi 20 avril à la MAC de Chapou, à 20h.

Une des dramaturges, Giulia Lombezzi sera présente pour un bord de scène à la fin des représentations.

Vous pourrez réserver à cette adresse :

https://my.weezevent.com/festival-universcenes

* L’entrée est libre et gratuite, sous contrôle du pass sanitaire.

Comment nous rejoindre ?

La fabrique culturelle 5, allées antonio Machado 31058 toulouse cedex 9. La Fabrique culturelle se situe à l’entrée de l’Université de Toulouse Le mirail, en face de l’Arche.

Accès métro : Ligne A (direction Basso-Cambo, station mirail-Université )
Accès Bus : Ligne 13 ( Arènes ‹› Basso-Cambo )
Accès voiture : Parking gratuit sur le campus, mais attention fermeture à 22h.

En savoir plus sur festival :

https://culture.univ-tlse2.fr

https://www.facebook.com/ciam.ut2j/

https://www.facebook.com/UNIVERSCENES/