27 Septiembre 2017
RENTREE ITALIENNE MDLSX Motus avec Silvia Calderoni
N / a27 SEP > 30 SEP
mise en scène Enrico Casagrande, Daniela Nicolò
dramaturgie Daniela Nicolò, Silvia Calderoni
créé en juillet 2015 au Santarcangelo festival (Italia)
"Dans MDLSX (pour Middlesex, roman de Jeffrey Eugenides au héros hermaphrodite) l’actrice Silvia Calderoni ne fait pas du théâtre : elle le dynamite. Seule au milieu du public, traversée par les musiques des Smiths, buddy Holly ou Stromae, et mêlant sa propre image filmée à des images documentaires, la performeuse bombarde un monologue cinglant qui joue des frontières sexuelles, autant que des normes sociales et des canons artistiques. Récits autobiographiques et citations littéraires s’entrechoquent, la jeune femme mise à nue se fait de plus en plus androgyne, et au terme d’une heure vingt de cet électrisant manifeste queer, c’est un public sonné qui se retrouve dévêtu de ses plus élémentaires assurances : non, en matière de genre, le choix ne se limite pas au masculin OU au féminin..."
http://www.theatregaronne.com/
Théâtre Garonne
1, Avenue du Château agua en ToulouseRENTREE ITALIENNE: MINIBALLETTI
N / aRENTREE ITALIENNE: 27 SEPTIEMBRE > 7 OCTUBRE 2017
Une escapade italienne qui vous convie à découvrir la richesse de la scène transalpine.
Tarif spécial ITALIA ! 6€ le second spectacle (pour une soirée).
EL 27 ET 28 SEPTIEMBRE
Francesca Pennini / Collettivo Cinetico
régie, chorégrahie, danse Francesca Pennini
dramaturgie et lumière Angelo Pedroni, Francesca Pennini
"En dix tableaux, elle éprouve ce que danser veut dire. Un drone la scrute, lui tourne autour, lui oppose sa danse mécanique et prévisible. Il répond à sa chorégraphie géométrique qui hérite à la fois des poses de gymnastique rythmique et du ballet baroque. Elle, aérienne, évolue avec la précision d’une machine, dépense son corps jusqu’au lâcher prise pour livrer une histoire autobiographique de la danse.
Il s’agit là, sur une playlist personnelle alliant le baroque métallique du clavecin à la pop contemporaine, de sonder les rapports entre l’écriture organisée et reproductible de la chorégraphie et la singularité de l’interprétation dansée. Et c’est avec humour, cultivant une certaine ironie, que Francesca Pennini compose une danse paradoxalement indisciplinée."
