Oct 032017
 

Martes 3 et mercredi 4 octobre à 21h au Théâtre Garonne.


Un savant mélange entre chorégraphie et recherche sonore présenté pour la première fois en France!
MK est une des compagnies parmi les plus intéressantes de la scène contemporaine italienne.
Réservation en ligne:http://www.forumsirius.fr/orion/garonne.phtml?spec=684
️http://www.mkonline.it/hey_eng.html

Chorégraphie Michele Di Stefano
avec Philippe Barbut, Biagio Caravano, Daniela Cattivelli, Michele Di Stefano, Laura Scarpini, un imitateur d’oiseaux
musique Springbreakers, Wire, Madcon

Créé le 5 Octubre 2015 au MilanOltre festival Teatro dell’Elfo Milan (Italia)

Mayo 032017
 

Des extraits de la pièce “La femme fantasque” de Carlo Goldoni (1707-1793) entreront en résonance avec les tableaux de l’exposition permanente.
La Fondation Bemberg vous convie avec la complicité de l’Ecole de théâtre Fite à une soirée lectures devant les oeuvres.

Entrada gratuita – Tout public – 40 mn

 

 

Mayo 012017
 

Spectacle-concert en italien surtitré en français

Pippo Delbono se confronte pour la première fois à un auteur comme Bernard-Marie Koltès, en donnant sa voix à la version de La Nuit juste avant les forêts, texte présenté pour la première fois en Avignon en 1977 et qui a marqué l’écriture contemporaine jusqu’à la mort de Koltès, disparu prématurément en 1989.

Un voyage quasiment autobiographique qui ouvre la soirée avec une lettre de François Koltès, le frère de Bernard-Marie, qui a donné son autorisation à Pippo Delbono de couper, travailler et tisser le texte original pour croiser deux vies et deux voix. Un monologue fort, intense, Provocateur, impétueux que Pippo Delbono, accompagné par Piero Corso, interprète avec une grande musicalité, modulant voix, ton et rythme.
La Notte se conclut avec une lettre de Bernard-Marie Koltès adressée à sa mère, à la critique qu’elle lui a faite de ne penser qu’au sexe : l’auteur répond en revendiquant sa conception de l’amour, en utilisant des paroles âpres, douces et mélancoliques pour exprimer un sentiment de résistance au non-sens du monde qui nous entoure.

Apr 252017
 

“Il cielo non è un fondale” el 26 avr au 29 Abril

Daria Deflorian / Antonio Tagliarini Italie / en Italiano, surtitled en francés

Daria Deflorian e Antonio Tagliarini parlano del loro nuovo lavoro “Il cielo non è un fondale”



“Il cielo non è un fondale” est une auto analyse lucide sur notre capacité de représentation de la vie ordinaire des gens les plus humbles pour les rétablir dans leur dignité. Quelle relation entretenons-nous avec ceux qui sont en situation de précarité? Comment regardons-nous celui qui est sous la pluie tout en restant bien à l’abri dans nos confortables foyers ? Que faire de notre décontenancement face à ces images de réfugiés qui échouent sur les plages de la Méditerranée ?
Un dialogue entre l’espace de la représentation et l’espace extérieur, le réel.

Mar 202017
 

Viernes 17 Mars à 20h30 l’Institut Catholique de Toulouse vous propose une unique représentation de la création de Francesco Agnello d’après l’oeuvre de ERRI De Luca
“Au nom de la mère”.
Salle Tolosa 29 rue de la Fonderie
Réservations: 06 09 46 15 41
Ce court récit propose une réécriture de la Nativité et s’articule autour de la figure de Marie qui se nomme ici Myriam, une simple jeune femme juive, fiancée à Joseph quand elle tombe enceinte. ..
C’est suite à une commande des frères dominicains de Paris que le metteur en scène, compositeur et percussionniste Francesco Agnello a conçu la version scénique d’Au Nom de la Mère.

Feb 072017
 

“Realidad” au Théâtre Garonne du 3 para el 6 Febrero 2017

De un libros íntimos ordinario mujer polaca, Daria Deflorian et Antonio Tagliarini inventent une matière théâtrale parlée-dansée irrésistible qui approche la réalité mystérieuse de cette vie invisible.

À la recherche de Janina Turek…. At 2000, à la mort de cette femme au foyer de Cracovie, sa fille découvre 748 carnets dans lesquelles elle a consigné les événements les plus infimes de la vie : appels téléphoniques (38296), personnes à qui elle a dit bonjour (233979), rendez-vous fixés (1922), émissions de télévision qu’elle a regardées (70042), nombre de fois où elle a joué aux dominos (19)… Comment représenter le mystère de cette femme ? Comment approcher au plus près la réalité sans le spectacle de ces vies minuscules et néanmoins uniques, irremplaçables ? C’est l’enjeu de la Trilogie de l’Invisible de Daria Deflorian et Antonio Tagliarini dont Realidad est l’un des épisodes. Desde 2008, l’actrice et le danseur-chorégraphe créent des spectacles sous forme de dialogues parlés-dansés sur la violence politique et ses répercussions sociales. Imaginer les gestes de Janina Turek, les situations, se disputer l’interprétation des faits, convoquer l’histoire polonaise du XXe siècle par éclats…
Tout le talent du duo, complice, émouvant, irresistible, est de nous faire partager sa quête, de faire passionnément théâtre avec l’inexplicable. Et transformer une existence anonyme en œuvre d’art. Realidad, trop vite passé l’an dernier, est présenté à nouveau cette saison, . suivi, en avril, du nouvel opus de ce duo choc, consacré cette fois-ci au paysage.

Biographie

Daria Deflorian y Tallarines de Antonio sont écrivains, metteurs en scène et interprètes. At 2008 ils commencent à collaborer sur de nombreux projets théâtraux. Leur première collaboration s’intitule Rewind, omaggio a Café Müller di Pina Bausch (2008). At 2009, ils créent une performance autour de la philosophie de Andy Warhol, from a to d and back again. Entre 2010 y 2011 ils travaillent sur Project Reality : à partir des journaux intimes de Krakow, Daria et Antonio créent l’installation / performance czeczy / things (2011) ainsi que la pièce Realidad (2012) pour laquelle Daria Deflorian reçoit le Ubu 2012 Award de la meilleure actrice. We’re going to give you no other concerns, réalisé avec la collaboration artistique de Monica Piseddu et Valentino Villa, fait ses débuts au RomaEuropa Festival en 2013. Ce projet gagne le Ubu 2014 Award pour sa dramaturgie. Trois de leurs textes ont été réunis en un livre, The Invisible Trilogy (Titivillus 2014).

 

Nov 032016
 

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Carlo Gozzi / Agathe Mélinand / Laurent Pelly
15 > 19 Noviembre / Duración 2 h 15

En su fábula teatral 1765, Brinda el veneciano Gozzi. Su extraordinaria obra es tanto un viaje de iniciación, un cuento filosófico, une folie où l’on croise reine sanguinaire, Rey depresivo, porkbutcher excedido, las hadas y, Claro, un pájaro mágico. Gozzi change sans cesse de genre pour revigorer la curiosité et la suprise et dépasse, sans haut-le-coeur, la modération et la constipation littéraire.

Il y a dix-neuf ans que Tartaglia, le roi hypocondriaque est parti à la guerre dix-huit ans que sa femme, la reine Ninetta, sortie d’une des trois oranges, a été enterrée vivante par la vieille peau de reine-mère, la terrible Tartagliona, dans un trou sous l’évier des cuisines du palais. Tartagliona avait ordonné à son Premier ministre, Pantalone de supprimer les enfants du couple royal, deux jumeaux si beaux qu’on aurait dit un oeillet et une rose mais Pantalone n’a pas pu et les a confiés à un couple de charcutiers, Truffaldino et Sméraldina. Barbarina et Renzo ont grandi, passionnés par les livres et la philosophie qui, curieusement n’ont développé chez eux que mépris et dédain pour l’amour de leurs charcutiers de parents. Dégoûté, Truffaldino les renvoie tandis que leur vrai père le Roi, rentre à Monterotondo. Quant à leur mère, Ninetta, elle a pu survivre en secret sous son évier avec l’aide d’un mystérieux oiseau vert.
Commence alors, le voyage initiatique des deux jumeaux qui mettra à l’épreuve leur philosophie. Le monarque tombera amoureux de sa fille Barbarina et le Premier ministre, Pantalone, fera tout pour éviter le mariage incestueux. Sur le chemin des deux jeunes gens, il y aura des statues qui parlent, des pommes qui chantent, de l’eau qui danse sans oublier une bonne fée, un philosophe statufié mais si bavard. Bref. Il faudra affronter bien des sortilèges, bien des maléfices, métamorphoses et autres sorts, pour que chacun redevienne qui il est censé être et que l’oiseau vert dénoue toutes les intrigues et en finisse avec la magie.

Agathe Mélinand