Théâtre GARONNE: 15 > 18 MARZO, Daria Deflorian / Antonio Tagliarini présentent leur spectacle
“NOUS AURONS ENCORE L’OCCASION DE DANSER ENSEMBLE” d’après le film “Ginger & Fred” de Fellini en programmation le 9 mars à la Cinémathèque de Toulouse
Mostrar en Italiano, surtitled en francés
Offre spéciale pour les adhérents de L’Italie à Toulouse ! : 15€ (au lieu de 20€) / 10€ moins de 30 años (au lieu de 12€) / durée : 1H30
IMPORTANT: Si vous réservez pour le vendredi 17 Marzo, à l’issue du spectacles vous pourrez rencontrer les acteurs et également rester boire un verre au bar.
Appelez donc sans attendre la billetterie (05 62 48 54 77), dites être membres de l’Italie à Toulouse et profitez de l’offre spéciale
Il est préférable de réserver à l’avance au risque d’y aller sur une soirée déjà complète !
Offre tarifaire aussi pour le film de Fellini “Ginger et Fred” programmé le 9 Mars à la Cinémathèque de Toulouse
Si vous achetez votre billet de théâtre à 15€ (réduction sur présentation de votre carte d’adhésion à l’Italie à Toulouse) et vous allez le chercher avant la date du film, el 9 mars vous pourrez le présenter à la cinémathèque et pouvoir ainsi bénéficier de la réduction pour le film
LA PIÈCE:
Sur scène, l’union des générations, trois couples de trentenaires, quadragénaires et sexagénaires traversent les années et tissent l’histoire (d’un seul et même couple). Librement inspirée du film de Federico Fellini Ginger et Fred, la pièce déploie tout en délicatesse le parcours d’artistes, animés par le désir de dialogue comme possibilité d’avancer ensemble.
Después de Quasi niente, Daria Deflorian et Antonio Tagliarini voulaient aborder l’intime de façon plus grande et plus folle, en lien avec ce que l’artiste en représentation donne à voir de lui-même : qui de plus indiqué alors que Fellini pour accompagner cette exploration ? En Ginger et Fred, Giuletta Masina et Marcello Mastroianni sont Amelia et Pippo, deux modestes danseurs de claquettes vieillissants ayant à leur répertoire une imitation du mythique duo hollywoodien. Désormais séparés, ils sont invités à danser pour une rétrospective télévisée où la société du spectacle a détrôné l’art qu’ils connaissaient. Un film crépusculaire, saisissant entre la lumière aveuglante des projecteurs et l’obscurité d’une coupure d’électricité, les différents visages de l’artiste. Comme ils l’avaient fait dans Quasi niente, Daria et Antonio ont en effet poussé plus loin la diffraction des identités en faisant cohabiter sur le plateau trois générations différentes. Une façon de suivre à travers les corps ce qui a changé en eux et dans le monde autour. Des corps qui parlent, qui chantent, et qui dansent bien sûr. Une façon de s’immiscer dans cet espace mouvant entre l’image et l’identité, qui ne peut se révéler que dans la relation à l’autre. Et une vibrante mise en abime de la vie d’artiste depuis les coulisses.