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À l’occasion de la commémoration du centenaire de la naissance de Pier Paolo Pasolini, la TR1 « Cultures, Herméneutique et Transmission » de l’UR CERES de l’Institut catholique de Toulouse a décidé d’organiser une « Semaine Pasolini » est organisée du 5 to the 7 December, en direction des étudiants et auditeurs de toutes sortes désireuses, au travers de films, discussions-débats et conférence, de découvrir ou de redécouvrir l’œuvre de cet artiste inclassable.
Choisi pour reconstruire le nouveau viaduc de Gênes, il est ce qu’on appelle un “starchitect” :
l’un de ces rares, très rares architectes stars dont les bâtiments deviennent immédiatement des icônes.
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Cinq œuvres pour comprendre le génie de l’architecture Renzo Piano
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26 anni fa, the 23 may 1992, venivano uccisi barbaramente dalla mafia a Capaci il giudice Giovanni Falcone, sua moglie (Francesca Morvillo) and 3 uomini della sua scorta (Rocco Di Cillo, Vito Schifani, Antonio Montinaro).
In questa ricorrenza si ricorda però anche la strage di Via D’Amelio del 19 luglio 1992, nella quale morì Paolo Borsellino, stretto collaboratore di Falcone, with 5 uomini della sua scorta (Emanuela Loi, Agostino Catalano, Vincenzo Li Muli, Walter Eddie Cosina, Claudio Traina), e con loro si ricordano tutti coloro che alla lotta per la legalità hanno dato la vita, ricordandoci la necessità di combattere per essa, ogni giorno, in tutta Italia.
Ogni anno il 23 maggio si tengono tante iniziative per ricordare i due magistrati. Una delle più belle è il ritrovo sotto casa di Giovanni Falcone, dove c’è un albero su cui le persone lasciano messaggi per testimoniare la solidarietà e la volontà si annientare la mafia .
Se voleste leggere qualcosa per conoscere meglio la storia di Falcone, vi consigliamo il libro di Luigi Garlando “Per questo mi chiamo Giovanni” (Fabbri Editore) .
Racconta una gita di Giovanni, bambino palermitano di 9 years, e del suo papà. Per il suo decimo compleanno il padre decide di trascorrere una giornata insieme a lui, portandolo in giro per Palermo e parlandogli della mafia. Il papà paragona la mafia a ciò che succede nella scuola di Giovanni, dove c’è un bullo che sfrutta i più deboli per ottenere ciò che vuole. Durante la gita, il papà racconta a Giovanni la storia di Giovanni Falcone, dal maxiprocesso alla sua morte, avvenuta per mano della mafia.
Elle fut la muse de Luchino Visconti, Federico Fellini ou Luigi Comencini. Claudia Cardinale fête dimanche ses 80 printemps sur les planches, et sans nostalgie aucune.
“Je n’ai jamais caché mon âge, je n’ai jamais été et je ne serai jamais une diva”, assure de sa légendaire voix rauque la star qui, en dépit une impressionnante filmographie, fait preuve d’une émouvante modestie.
Pour franchir ce cap symbolique, l’actrice sera sur les planches du Teatro Augusteo de Naples pour interpréter “La strana coppia”, version féminine de “Drôle de couple” de Neil Simon.
The room – jouée à l’origine par deux acteurs – est mise en scène par Pasquale Squitieri, décédé l’an passé, qui a partagé sa vie pendant près de 30 years.
Elle n’avait que 16 ans lorsqu’elle a été happée par le grand écran, presque malgré elle puisqu’elle se rêvait plutôt institutrice ou exploratrice.
“Tous les journalistes, les producteurs, me photographiaient et me demandaient de faire du cinéma. Et moi je disais +non+, je suis avec maman, je ne veux pas”, raconte-t-elle, les yeux rieurs soulignés d’un trait noir.
“Et un jour, je monte dans un avion et je vois ma photo partout sur les journaux et le titre: +La fille qui refuse de faire du cinéma+. Alors mon père m’a dit: +Mais fais-le, ce cinéma+”, raconte-t-elle.
Née de parents siciliens à La Goulette, près de Tunis, the 15 April 1938, Claude Joséphine Rose ne parle à ses débuts que français, arabe et sicilien. Elle devra être doublée, au moins jusqu’à “Huit et Demi” (1963), pour lequel Fellini lui demande de jouer en italien.
La belle brune devient “la fiancée de l’Italie” dès 1958, au côté de Marcello Mastroianni et de Vittorio Gassman dans “Le pigeon”, Mario monicelli.
Enceinte après un viol, elle veut abandonner mais son mentor, le producteur-réalisateur Franco Cristaldi, la convainc d’aller accoucher secrètement à Londres et de confier l’enfant à sa famille. Elle présente Patrick comme son petit frère pendant sept ans avant de révéler la vérité.
‘Indépendante et engagée’
Elle a 22 ans lorsque Luchino Visconti la fait tourner dans “Rocco and his brothers”. “The” Cardinale crève ensuite l’écran dans “Le Guépard” au côté du flamboyant Alain Delon (1963), tout en tournant en parallèle “Eight and a half”.
Réclamée par Hollywood, où elle a toujours refusé de s’installer, elle séduit les Américains dans “La panthère rose” de Blake Edwards avec Peter Sellers et David Niven.
Les tournages s’enchaînent: “Le plus grand cirque du monde” de Henry Hathaway avec John Wayne, then “Sandra” Visconti, “Les Professionnels” de Richard Brooks.
En 1968, elle est l’héroïne du culte “Il était une fois dans l’Ouest”, by Sergio Leone (1968), avec Charles Bronson et Henry Fonda.
Le Napolitain Pasquale Squitieri, son “seul amour” et le père de sa fille Claudia, lui fait aussi tourner une douzaine de longs métrages de 1974 to 2011.
Prix de la meilleure actrice en 1984 au Festival de Venise pour “Claretta” de Pasquale Squitieri, puis Lion d’Or en 1993 à Venise et Ours d’Or en 2002 à Berlin pour l’ensemble de sa carrière, elle a joué dans près de 150 longs métrages.
Farouchement opposée à la chirurgie esthétique, elle recommande aussi aux jeunes comédiennes de ne pas “tout accepter pour un rôle qui peut vous abîmer ou vous donner l’impression de vous vendre”.
L’an dernier, le festival de Cannes a choisi une photo de sa jeunesse pour l’affiche de la 70e édition, rendant hommage à “une comédienne aventurière, femme indépendante, citoyenne engagée”.
Mickey rend hommage à Corto Maltese avec La balade de la souris salée!
lastampa.it/…/topolino-incontra-corto-maltese-j…/pagina.html
“À bord d’un catamaran faisant face aux vagues du Pacifique, des marins aperçoivent au loin la silhouette d’un naufragé sur un radeau. Cela commence comme le chef-d’œuvre d’Hugo Pratt : La Ballade de la mer salée… et pourtant les personnages sont ceux de Disney ! Paru au printemps 2017 en Italie et réalisé par le grand maître Giorgio Cavazzano, Mickey Maltese est, plus qu’une parodie ou un simple hommage, une véritable relecture de la mythique première aventure de Corto. On y retrouve, outre Mickey dans le rôle-titre, le mystérieux personnage du Moine ainsi que Pat Hibulaire en Raspoutine et Minnie en Bouche Dorée…
– Topolino ha festeggiato i 50 anni dalla nascita di Corto Maltese con una parodia di “Una ballata del mare salato”, la prima storia del marinaio creato da HugoPratt.
The story, intitolata “Topo Maltese , una ballata del topo salato”, è stata scritta da Bruno Enna e disegnata da GiorgioCavazzano E stata pubblicata in due parti, on Topolino, n. 3197 e n. 3198 nel marzo 2017. –
La ville de Rome vient de réhabiliter le poète latin Ovide en révoquant officiellement la «relégation» décidée par l’empereur Auguste en l’an 8 !
Dopo oltre duemila anni dall’esilio da Roma, voluto dall’imperatore Augusto, la città di Roma riabilita il poeta latino Publio Ovidio Nasone con la revoca ufficiale della “relegatio”.
En attendant de rencontrer
Jean-Luc Lévrier, à la Librairie Ombres Blanches, Tuesday 13 February 2018 from 18:00 to 20:00, pour la présentation de sa traduction inédite: “Tristesse d’Ovide” publiée chez Sables Editions, parcourez :
– son blog: http://ovidii-amici.blogspot.fr/ – sa page FB: Les amis d’Ovide
Jean-Luc Lévrier est professeur de lettres classiques en classes préparatoires aux grandes écoles au Lycée Saint Sernin à Toulouse!
Nel bimillenario della sua morte, il poeta romano trova la riabilitazione e la revoca delle sue condanne grazie al riconoscimento dei suoi concittadini e del Comune di Roma.
Esattamente duemila anni fa, in una data non meglio precisata dalle fonti, il poeta Publio Ovidio Nasone moriva, solo e afflitto, a Tomi (attuale Costanza, in Romania) all’epoca un villaggio portuale sulle rive del Mar Nero, in quelle terre che i Romani chiamavano Ponto. Lui, cantore disilluso di un amore disincarnato e disincantato, fine esteta, cantore delle Metamorfosi e dei Fasti, si ritrovò a morire esule, in un piccolo centro, lontanissimo dalla natia Sulmona, circondato (stando alla sua stessa testimonianza) da rozzi barbari che non comprendevano neanche una parola del suo latino. Ovidio, relegato nell’angolo più remoto del neonato Impero Romano, non poté che ripensare con rammarico ai grandi amori cantati nei suoi carmi, ai consigli di seduzione che aveva offerto ai giovani romani nell’Ars Amatoria e agli unguenti profumati che aveva consigliato alle donne patrizie per corteggiare i rampolli delle più nobili famiglie nei Medicamina faciei feminae. Ma soprattutto Ovidio, durante la stesura dei Tristia, quei versi che raccolgono i suoi lamenti nostalgici e descrivono la sua triste condizione nel Ponto, ripensò alla bella vita che fu, quando a Roma vantava di poter essere uno dei fiori all’occhiello dei Circoli di Messalla Corvino e di Gaio Clinio Mecenate, le più prestigiose élite culturali del Principato Augusteo.
Ma per quale motivo Ovidio, illustre poeta, cadde in uno stato di disgrazia così atroce?
La risposta sembra offrircela lui stesso, proprio nei Tristia:
“Perdiderint cum me duo crimina, carmen et error alterius facti culpa silenda mihi.” | “Due crimini mi hanno condannato; un carme e un errore: di questo dovrò tacere quale sia stata la mia colpa.” |
(Ovidio, Tristia 2, 1,vv.207-208.) | |
A cosa si riferisce Ovidio, in questi due versi carichi di umanità e pregni di sincero dolore?
Il poeta stesso sembra rimanere criptico ed ermetico a riguardo: come accade molto spesso, quando le fonti mantengono il silenzio, sono gli storici a doversi dar da fare per ricostruire il tutto nel modo più verosimile possibile.
Tutto ciò che noi sappiamo, se escludiamo questi versi, è che fu il princeps Ottaviano Augusto in persona a provvedere all’esilio. Alla base della condanna, ne deduciamo, ci fu sicuramente un dissapore molto serio tra il poeta e l’Imperatore, uno screzio talmente grave da non poter permettere ad Augusto di optare per una pena più leggera: nel cacciare Ovidio da Roma e dai confini Italici, Ottaviano scelse la relegatio ad insulam, un esilio che, a differenza della deportatio, prevedeva solo l’allontanamento dell’individuo, senza che tuttavia egli perdesse la cittadinanza romana e le sue proprietà.
Il carme di cui parla il poeta è molto probabilmente l’Ars Amatoria, il poemetto in tre libri che forniva agli uomini e alle donne di tutta Roma i consigli più raffinati per “rimorchiare”. Nulla esclude tuttavia che il carme a cui accenna Ovidio stesso non siano in realtà i tre libri degli Amores, nei quali Ovidio si vantava delle sue avventure piccanti tra un’amante e l’altra. In any case, la letteratura di Ovidio, nonostante avesse riscosso un certo successo e attirato il plauso del pubblico aristocratico romano, risultò scabrosa, oscena: prevedeva una visione dell’amore spensierata e superficiale, sdoganava il tradimento e l’infedeltà coniugale (quasi giustificandoli) e sembrava esaltare solo gli aspetti più carnali, più erotici dell’amore: tutto questo era inaccettabile agli occhi di un Augusto sempre più intenzionato a varare una politica volta a tutelare i valori morali della famiglia, emanando leggi che punissero l’adulterio e lo stupro e sanzionando con pene pecuniarie gli scapoli (oggi diremmo “i single”) che raggiunta una certa età non si fossero ancora sposati (la cosiddetta “tassa sul celibato” a cui si ispirò anche Mussolini). Seppur vero che la visione letteraria ovidiana strideva con la propaganda morale augustea, possiamo dire che questo carme bastò, da solo, a far infliggere su Ovidio una pena così tremenda?
Qui entra in gioco l’errore, forse il motivo più autentico per cui il poeta di Sulmona si guadagnò l’esilio nel Ponto: l’ipotesi più probabile è che Ovidio fosse uno dei tanti amanti con cui Giulia Maggiore, figlia di Augusto, aveva intrattenuto una relazione clandestina alle spalle del marito Tiberio (in barba alle leggi morali emanate dal padre). Plausibile è anche la teoria secondo la quale Ovidio avesse coperto e favorito la relazione adulterina tra Giulia Minore, nipote dell’Imperatore e moglie del console Lucio Emilio Paolo, e Giulio Decimo Siliano. Oltre a questi due “scandali a luci rosse”, come li definiremmo oggi, non sono da escludere anche altre numerose supposizioni avanzate dagli storici in merito al famoso “error” di cui parla Ovidio nei Tristia: secondo alcuni Ovidio era coinvolto in una congiura ai danni di Augusto, mentre secondo altri era venuto a conoscenza di dettagli privati del princeps e della moglie Livia.
Quel che è certo è che gli ultimi nove anni di vita Ovidio li trascorse lontano da Roma e dalla sua Sulmona: relegato nel Ponto nell’8 d.C., nonostante le dozzine di lettere di scuse e di suppliche inviate ad Augusto, il poeta non riuscì mai a tornare in patria, morendo da solo, lontano da casa, in 17 d.C. La sua unica consolazione, durante il confinamento nella terra barbara, rimarrà la letteratura; durante l’esilio infatti, Ovidio scriverà, oltre ai Tristia e alle lettere destinate ai suoi familiari e all’Imperatore, tre brevi poemetti (Ibis, Phaenomena e Haieleutica) che non godranno però della stessa fortuna che già vantarono l’Ars Amatoria e le Metamorfosi.
La città di Sulmona è, praticamente da sempre, affettuosamente legata alla figura di Ovidio, a cui sono dedicate vie, piazze, ristoranti, statue, scuole, bar e addirittura un certamen, una gara di traduzione nella quale gli studenti del Liceo Classico si confrontano in una sfida a colpi di vocabolario in una traduzione di passi scelti delle opere del poeta. Nel bimillenario della sua morte, la città abruzzese non poteva esimersi dal conferire i dovuti omaggi a quello che senza dubbio è il suo più illustre cittadino: con precisione certosina e grazie a un lauto finanziamento europeo, il comune di Sulmona ha allestito un ricco programma di eventi di rilevanza nazionale e internazionale. The Bimillenario Ovidiano racchiude le migliori proposte scientifiche e culturali, incentrate nello specifico della produzione ovidiana. Letteratura, arte, musica, cinema, teatro, enogastronomia, editoria, mostre, musica, fotografia, convegni. Tanti gli aspetti di varia natura inseriti in una serie di iniziative che valorizzano luoghi, eccellenze, beni materiali e immateriali da sempre cari al poeta latino.
Ma tra le proposte più affascinanti, spicca quella della revoca della relegatio: Ovidio, dopo due millenni, sarebbe finalmente assolto dalle sue colpe. Infatti l’assise civica capitolina si prepara a revocare il decreto emesso dall’imperatore Augusto nell’ormai lontanissimo primo secolo dopo Cristo. Il Comune di Roma ha deciso in questo modo di omaggiare il poeta sulmonese nell’anno del Bimillenario dalla morte. La proposta di “liberare” Ovidio dall’esilio era stata già avanzata in passato al Rotary Club di Sulmona, dal professore Giuseppe Martocchia, docente di Lettere nel Liceo Classico Ovidio (appunto) dal professore Raffaele Giannantonio e dalla professoressa Palma Crea Cappuccilli, anche lei docente nel Liceo Classico Ovidio. In 2012 anche il Consiglio comunale di Sulmona deliberò all’unanimità la richiesta di revoca della condanna di Ovidio, inviando la delibera al Consiglio comunale capitolino, che ha deciso di iniziare un lungo processo burocratico che avrà come fine la revoca della relegatio del poeta sulmonese… in un’occasione non casuale!
Ma come possono il comune di Sulmona e l’assemblea giudiziale del Comune di Roma porsi al di sopra di una sentenza emanata dallo stesso Augusto?
Semplice: bisogna dimostrare l’invalidità della condanna. In primo luogo, qualora l’accusa che verte su Ovidio sia quella di aver partecipato alla congiura ordita contro Augusto, si potrebbe allora accusare l’Imperatore di non aver esplicitato mai la motivazione della sanzione inflitta al poeta: avrebbe dovuto ammettere che alla congiura avevano partecipato anche i suoi strettissimi congiunti. Se veramente Ovidio avesse partecipato all’organizzazione di un attentato ad Augusto, avrebbe potuto mai la pena essere tanto mite? E gli altri congiurati chi sarebbero? In questo caso l’accusa si fonderebbe solo su ipotesi prive di testimonianze, che scagionerebbero Ovidio da ogni accusa. Qualora l’accusa sia invece quella di aver partecipato, direttamente o non, alle tresche amorose delle due Giulie, la pena risulterebbe illegittima, in quanto sembrerebbe che Ovidio non abbia potuto godere di un processo regolare, con tanto di difesa e accusa. Se infine la colpa del poeta sulmonese è stata quella di decantare un amore senza troppi vincoli, condannare Ovidio per questo motivo risulterebbe ridicolo: se i Romani, fregandosene delle leggi di Augusto, avevano abbandonato l’antica severità dei costumi, dandosi alla bella vita, se i matrimoni erano in calo e non si facevano più figli, di certo non era colpa di Ovidio.
E soprattutto, dettaglio da non prendere sottogamba, la condanna alla relegatio, secondo il diritto romano, veniva comminata a conclusione di un processo pubblico e poi ratificata dal Senato. Nel caso di Ovidio, essendo Augusto imperatore, la decisione fu soltanto sua.
Ora come ora, bisogna solo attendere che il decreto capitolino revochi ufficialmente la relegatio del poeta elegiaco latino.
Chissà se Ovidio, dopo due mila anni, non stia sussurrando dall’Oltretomba: “Meglio tardi che mai!”
Michele Porcaro