OPERA: RETRANSMISSION de “DON PASQUALE”, G. DONIZETTI, depuis l’Opera National de Paris – Palais Garnier

 

« Bien idiot est celui qui se marie en grand âge. »

Ainsi se termine Don Pasquale : sur un sage dicton qui ne manque pas d’ironie et qui résume les déboires de son héros, riche célibataire désireux de se marier et trompé par son neveu Ernesto et sa jeune promise Norina. Créé à Paris en 1843, à la charnière de plusieurs époques, Don Pasquale, œuvre composite et variée, est l’apothéose du genre buffa. Donnée pour la première fois à l’Opéra national de Paris, elle est confiée au metteur en scène italien Damiano Michieletto qui fraie la voie de la sincérité et de la profondeur dramatiques au cœur d’une œuvre en apparence légère.

OPERA: RETRANSMISSION de “DON PASQUALE”, G. DONIZETTI, depuis l’Opera National de Paris – Palais Garnier

 

« Bien idiot est celui qui se marie en grand âge. »

Ainsi se termine Don Pasquale : sur un sage dicton qui ne manque pas d’ironie et qui résume les déboires de son héros, riche célibataire désireux de se marier et trompé par son neveu Ernesto et sa jeune promise Norina. Créé à Paris en 1843, à la charnière de plusieurs époques, Don Pasquale, œuvre composite et variée, est l’apothéose du genre buffa. Donnée pour la première fois à l’Opéra national de Paris, elle est confiée au metteur en scène italien Damiano Michieletto qui fraie la voie de la sincérité et de la profondeur dramatiques au cœur d’une œuvre en apparence légère.

OPERA: RETRANSMISSION de “LA TRAVIATA”, G. VERDI, depuis l’Opera National de Paris – Palais Garnier

 

C’est une des œuvres les plus populaires de Verdi et peut-être de tout le théâtre lyrique.

À cause de son livret, tiré de La Dame aux camélias, à cause de sa musique surtout, simple et efficace, admirablement construite dans ses effets, théâtrale au meilleur sens du terme – ce que Proust a bien résumé : « Verdi a donné à La Dame aux camélias le style qui lui manquait ».
Du fameux brindisi de début, cette chanson à boire reprise par tous, à la grande scène qui clôt le premier acte et dans laquelle Violetta lutte avec son désir d’amour à travers des vocalises qui l’étourdissent, E strano, ou du terrible duo entre Violetta et le père de son amant qui se conclut par ce chant nu, résigné, Dite alla giovine, jusqu’à cet adieu à la vie, à la fin, la voix comme au bord de la déchirure, Addio del passato, il n’est guère de moment où l’émotion ne serre le cœur.
Mais j’ai souhaité vous proposer cette production à cause de sa mise en scène signée… Rolando Villazón : le célèbre ténor nous entraîne dans un étonnant univers onirique, faisant de cette représentation une sorte de fantaisie colorée au cœur d’une grande boîte à musique. Et la jeune diva russe Olga Peretyatko y est en effet, à tous égards, une Violetta de rêve…

OPERA: RETRANSMISSION de “LA TRAVIATA”, G. VERDI, depuis l’Opera National de Paris – Palais Garnier

 

C’est une des œuvres les plus populaires de Verdi et peut-être de tout le théâtre lyrique.

À cause de son livret, tiré de La Dame aux camélias, à cause de sa musique surtout, simple et efficace, admirablement construite dans ses effets, théâtrale au meilleur sens du terme – ce que Proust a bien résumé : « Verdi a donné à La Dame aux camélias le style qui lui manquait ».
Du fameux brindisi de début, cette chanson à boire reprise par tous, à la grande scène qui clôt le premier acte et dans laquelle Violetta lutte avec son désir d’amour à travers des vocalises qui l’étourdissent, E strano, ou du terrible duo entre Violetta et le père de son amant qui se conclut par ce chant nu, résigné, Dite alla giovine, jusqu’à cet adieu à la vie, à la fin, la voix comme au bord de la déchirure, Addio del passato, il n’est guère de moment où l’émotion ne serre le cœur.
Mais j’ai souhaité vous proposer cette production à cause de sa mise en scène signée… Rolando Villazón : le célèbre ténor nous entraîne dans un étonnant univers onirique, faisant de cette représentation une sorte de fantaisie colorée au cœur d’une grande boîte à musique. Et la jeune diva russe Olga Peretyatko y est en effet, à tous égards, une Violetta de rêve…

OPERA: RETRANSMISSION de “LA TRAVIATA”, G. VERDI, depuis l’Opera National de Paris – Palais Garnier

 

C’est une des œuvres les plus populaires de Verdi et peut-être de tout le théâtre lyrique.

À cause de son livret, tiré de La Dame aux camélias, à cause de sa musique surtout, simple et efficace, admirablement construite dans ses effets, théâtrale au meilleur sens du terme – ce que Proust a bien résumé : « Verdi a donné à La Dame aux camélias le style qui lui manquait ».
Du fameux brindisi de début, cette chanson à boire reprise par tous, à la grande scène qui clôt le premier acte et dans laquelle Violetta lutte avec son désir d’amour à travers des vocalises qui l’étourdissent, E strano, ou du terrible duo entre Violetta et le père de son amant qui se conclut par ce chant nu, résigné, Dite alla giovine, jusqu’à cet adieu à la vie, à la fin, la voix comme au bord de la déchirure, Addio del passato, il n’est guère de moment où l’émotion ne serre le cœur.
Mais j’ai souhaité vous proposer cette production à cause de sa mise en scène signée… Rolando Villazón : le célèbre ténor nous entraîne dans un étonnant univers onirique, faisant de cette représentation une sorte de fantaisie colorée au cœur d’une grande boîte à musique. Et la jeune diva russe Olga Peretyatko y est en effet, à tous égards, une Violetta de rêve…

OPERA: RETRANSMISSION de “DON PASQUALE”, G. Donizetti depuis l’Opera National de Paris – Palais Garnier

 

« Bien idiot est celui qui se marie en grand âge. »

Ainsi se termine Don Pasquale : sur un sage dicton qui ne manque pas d’ironie et qui résume les déboires de son héros, riche célibataire désireux de se marier et trompé par son neveu Ernesto et sa jeune promise Norina. Créé à Paris en 1843, à la charnière de plusieurs époques, Don Pasquale, œuvre composite et variée, est l’apothéose du genre buffa. Donnée pour la première fois à l’Opéra national de Paris, elle est confiée au metteur en scène italien Damiano Michieletto qui fraie la voie de la sincérité et de la profondeur dramatiques au cœur d’une œuvre en apparence légère.

OPERA: RETRANSMISSION de “LA TRAVIATA”, G. VERDI, depuis le Metropolitan Opera de New York

 

C’est une des œuvres les plus populaires de Verdi et peut-être de tout le théâtre lyrique.

À cause de son livret, tiré de La Dame aux camélias, à cause de sa musique surtout, simple et efficace, admirablement construite dans ses effets, théâtrale au meilleur sens du terme – ce que Proust a bien résumé : « Verdi a donné à La Dame aux camélias le style qui lui manquait ».
Du fameux brindisi de début, cette chanson à boire reprise par tous, à la grande scène qui clôt le premier acte et dans laquelle Violetta lutte avec son désir d’amour à travers des vocalises qui l’étourdissent, E strano, ou du terrible duo entre Violetta et le père de son amant qui se conclut par ce chant nu, résigné, Dite alla giovine, jusqu’à cet adieu à la vie, à la fin, la voix comme au bord de la déchirure, Addio del passato, il n’est guère de moment où l’émotion ne serre le cœur.
Mais j’ai souhaité vous proposer cette production à cause de sa mise en scène signée… Rolando Villazón : le célèbre ténor nous entraîne dans un étonnant univers onirique, faisant de cette représentation une sorte de fantaisie colorée au cœur d’une grande boîte à musique. Et la jeune diva russe Olga Peretyatko y est en effet, à tous égards, une Violetta de rêve…

OPERA: RETRANSMISSION de “DON PASQUALE”, G. Donizetti depuis l’Opera National de Paris – Palais Garnier

 

« Bien idiot est celui qui se marie en grand âge. »

Ainsi se termine Don Pasquale : sur un sage dicton qui ne manque pas d’ironie et qui résume les déboires de son héros, riche célibataire désireux de se marier et trompé par son neveu Ernesto et sa jeune promise Norina. Créé à Paris en 1843, à la charnière de plusieurs époques, Don Pasquale, œuvre composite et variée, est l’apothéose du genre buffa. Donnée pour la première fois à l’Opéra national de Paris, elle est confiée au metteur en scène italien Damiano Michieletto qui fraie la voie de la sincérité et de la profondeur dramatiques au cœur d’une œuvre en apparence légère.

OPERA: RETRANSMISSION de “DON PASQUALE”, G. Donizetti depuis l’Opera National de Paris – Palais Garnier

 

« Bien idiot est celui qui se marie en grand âge. »

Ainsi se termine Don Pasquale : sur un sage dicton qui ne manque pas d’ironie et qui résume les déboires de son héros, riche célibataire désireux de se marier et trompé par son neveu Ernesto et sa jeune promise Norina. Créé à Paris en 1843, à la charnière de plusieurs époques, Don Pasquale, œuvre composite et variée, est l’apothéose du genre buffa. Donnée pour la première fois à l’Opéra national de Paris, elle est confiée au metteur en scène italien Damiano Michieletto qui fraie la voie de la sincérité et de la profondeur dramatiques au cœur d’une œuvre en apparence légère.

OPERA: RETRANSMISSION de “DON PASQUALE”, G. Donizetti depuis l’Opera National de Paris – Palais Garnier

 

« Bien idiot est celui qui se marie en grand âge. »

Ainsi se termine Don Pasquale : sur un sage dicton qui ne manque pas d’ironie et qui résume les déboires de son héros, riche célibataire désireux de se marier et trompé par son neveu Ernesto et sa jeune promise Norina. Créé à Paris en 1843, à la charnière de plusieurs époques, Don Pasquale, œuvre composite et variée, est l’apothéose du genre buffa. Donnée pour la première fois à l’Opéra national de Paris, elle est confiée au metteur en scène italien Damiano Michieletto qui fraie la voie de la sincérité et de la profondeur dramatiques au cœur d’une œuvre en apparence légère.