Mayo 022022
 

El 10 más 2022 de 19h00 à 20h00

Librairie de la Renaissance
Valerio Varesi vient nous présenter son septième roman publié en France, le tout nouvel opus des aventures du commissaire Soneri, La Main de Dieu aux éditions Agullo.
Sous le plus vieux pont de Parme, le corps d’un homme émerge du rivage boueux. Il a été assassiné, puis jeté à l’eau on ne sait où et emporté par le courant. Le commissaire Soneri, se fiant comme toujours à son instinct, décide de remonter le fleuve. Par un après-midi froid et pluvieux, son voyage vers les origines l’amène dans un village isolé des Apennins, près d’un col autrefois parcouru par les marchands et les pèlerins et désormais fréquenté par les vendeurs ambulants non européens et les « mules » de la drogue. Les villageois parlent peu et à contrecœur, l’hostilité envers l’étranger, qui plus est le flic, est évidente.
Soneri découvre malgré tout l’identité de la victime – un entrepreneur local riche et redouté – dont le nom est lié à un violent conflit d’intérêts sur l’avenir de ces montagnes. Au fil des jours, l’enquête devient de plus en plus inquiétante, tandis que le commissaire s’échine à trouver la bonne piste parmi des chemins impénétrables qui se perdent dans un paysage intact de neige, d’arbres et d’eau. Dans ce décor qui le fascine et le bouleverse à la fois, il croise des personnages bizarres, rassemblés dans une sorte de communauté des bois, et un prêtre dérangeant à la foi subversive, confiné par punition dans ce lieu oublié de Dieu…
Rencontre en partenariat avec Toulouse Polars du Sud.

Apr 222022
 

Viernes 29 et samedi 30 Abril 2022 en 20:30, Théâtre du Pavé – 34 Rue Maran – 31400 Toulouse

Duración : 1h20 | Grande salle

Les mots et la musique d’un amour entre une jeune femme à Paris et son grand-père italien.

Léa est une jeune parisienne dynamique ; Luciano, son grand-père italien habite la campagne lyonnaise. A la veille des vacances de Léa, un événement inattendu va les conduire à se retrouver.

Il Mio Sole est un spectacle musical à destination des italiens, des immigrés, des petits-enfants devenus grands, des rêveurs. Mais c’est surtout un spectacle pour les amoureux du texte, les amoureux du jeu entre énergie brute et moments choyés.

Pas une seconde de répit avec Rachel Bulgarelli, tantôt à la voix tantôt au violoncelle. Elle nous fait virevolter de personnage en personnage en passant allègrement du présent au passé accompagnée par le guitariste Jeff Guilloux.

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Au fil du spectacle, sa quête devient nôtre : Comment le souvenir et le langage façonnent-t-il le rée Texte, juego, mise en scène, violoncelle, composition, arrangements Rachel Bulgarelli /
Guitares, cavaquinho / composition, arrangements Jeff Guilloux / Sound design Éric Avondo /
Création lumière Sylvain Dubun / Regard extérieur Claire Chaperot
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Apr 052022
 

El 22 Avril à 15h au 35 TER rue Gabriel Peri
Réservations : litalieatoulouse@orange.fr

 

Eduardo De Filippo, 1900-1984 di Enzo Biagi

 

Quando è morto, gli hanno fatto un monumento di parole. Forse troppe, per uno che si faceva notare soprattutto per i lunghi silenzi e inventava strampalate figure chiuse in un tenace mutismo, che per esprimersi senza troppi discorsi ricorrevano ai botti.

Eduardo aveva il pudore dei sentimenti e odiava gli sproloqui, i punti esclamativi, gli effettacci e i lustrini: le sue ultime recite sembravano sacre rappresentazioni.

Ritrovo nei miei taccuini certi momenti dei nostri incontri; gli era più facile concedere un invito a pranzo che un’intervista. Ma le cose che diceva erano illuminanti.

 

La prima impressione di una platea: «Ero piccolo, sbigottito: uno splendore abbagliante. Mi trovai là da un momento all’altro: lo spettacolo è luce, è sorpresa. Non finirà mai. Fin quando ci sarà un filo d’erba sulla terra, ce ne sarà uno finto sul palcoscenico. Teatro significa vivere sul serio quello che gli altri nella vita recitano male».

Spiegava il segreto della sua arte: «Io osservo, osservo continuamente. Il teatro porta alla vita e la vita al teatro. L’umanità, attraverso i fatti che evolvono continuamente, ci fornisce modelli che ci meravigliano sempre: nuovi, pazzi, imprevedibili, che ci danno poi i personaggi. E le mie commedie sono tragedie anche quando fanno ridere».

La sua idea dell’attore: «L’uomo, qualche volta, è come le scimmie, che hanno il gusto dell’imitazione. Le hanno viste che si mettevano addosso rafia e fiori e ballavano. Ma se è vanitoso, è solo uno che ha la faccia tosta di salire in alto, su delle assi inchiodate, per farsi vedere. L’artista è un’altra cosa».

I tempi dell’avanspettacolo: «Scrivevamo i nostri copioni in camerino, negli intervalli, e la testa rimbombava dei dialoghi e dei sospiri dei primi film sonori. I napoletani sono esigenti: ogni settimana bisognava cambiare repertorio.

E sono terribili: ti capiscono prima che parli e devi stare molto attento per poterli imbrogliare. Anche Natale in casa Cupiello era un atto unico, bellissimo. Avevamo in cartellone Sik-Sik l’artefice magico, e per rappresentarlo erano assolutamente indispensabili un colombo e una gallina. Una notte, spinti dall’appetito, ci rivolgemmo a un trattore perché ci cucinasse i due cari compagni di lavoro. Li mangiammo, ma con molta pena».

Il successo: «Nel 1942, con i miei fratelli decidemmo di passare proprio al teatro, con una compagnia nostra e con copioni scritti da noi. Debuttammo a Milano, all’Odeon. Ma chi ci conosceva? Le poltrone erano per metà vuote, però alla fine il pubblico urlava: “Viva Napoli”. Renato Simoni fece un lungo articolo e nei giorni seguenti tutte le file si riempirono. Cominciò la conquista del Nord».

Il più bel ricordo: «È nella mia città che ho provato la commozione più profonda. Fu alla prima di Napoli milionaria. C’era il fronte fermo a Firenze. C’era la fame e tanta gente disperata. Ottenni il San Carlo per una sera. I professori d’orchestra, per assistere allo spettacolo, si erano infilati nel golfo mistico. “Vedrete che ci diffamerà” diceva qualcuno allarmato dal titolo.

«Io facevo Gennaro Esposito, un povero e bravo uomo, che viene portato via dai tedeschi e quando ritorna trova un figlio ladro, la moglie che fa il mercato nero, si è arricchita, lo ha tradito, e la figlia ha fatto l’amore con un soldato americano.

«Sono dei cinici, ma Gennaro Esposito, con tolleranza, con comprensione, fa capire ai familiari che non è finito niente, che la vita continua. Recitavo e sentivo intorno a me un silenzio terribile. Quando dissi l’ultima battuta: “Deve passare la notte” e scese il pesante velario, ci fu silenzio ancora, per otto, dieci secondi, poi scoppiò un applauso furioso e anche un pianto irrefrenabile; tutti avevano in mano un fazzoletto, gli orchestrali si erano alzati in piedi, i macchinisti avevano invaso la scena, il pubblico era salito sul palcoscenico, tutti piangevano e anch’io piangevo, e piangeva Raffaele Viviani che era corso ad abbracciarmi. Io avevo detto il dolore di tutti».

Il suo mondo: «Napule è nu paese curioso/è nu teatro antico […] sempre apierto:/ce nasce gente ca senza cuncerto/ scenne p’ strade e sape recità».

 

 

Mar 252022
 

Viernes 15 Abril 2022, 9h-12h30Centre de Ressource de Langues (bâtiment ERASMUS rez de chaussée, UT2J, métro Mirail Université)

Fim “Gênes-G8, vingt ans après”

Julio 2001. Silvio Berlusconi est premier ministre. Lors du sommet rassemblant les dirigeants des huit pays les plus puissants du monde (G8), dans la ville de Gênes, en Italia, 300 000 manifestants venus du monde entier organisent un contre-sommet au cri de : “Un autre monde est possible”. Le centre-ville, où a lieu la manifestation, est bouclé par des barrières de plus de 4 mètres et des rangées de containers qui encerclent les manifestants chargés par les forces de l’ordre. Un militant, Carlo Giuliani, est tué d’une balle tirée depuis une fourgonnette de la police. Bilan : un millier de blessés, 280 arrestations.

Vingt ans après les “faits de Gênes”, de nombreux documents ont vu le jour (films, essais, témoignages, articles) pourtant, la suite judiciaire de ce dossier est encore une zone d’ombre.
D’après Amnesty International, la répression des manifestations altermondialistes (un mort, tabassage des manifestants dans les rues de la ville, arrestations violentes dans l’école « Diaz », torture de manifestants dans la caserne des carabiniers de Bolzaneto) constitue la « plus grande violation des droits humains et démocratiques dans un pays occidental depuis la seconde guerre mondiale ».

Une table ronde autour de Roberto Demontis, protagoniste altermondialiste de ces journées et co-auteur avec Giorgio Moroni d’un ouvrage qui vient de paraître sur l’Autonomia à Gênes, reviendra sur les évènements et aussi sur la mémoire, l’historiographie, le traitement médiatique de l’une des plus grandes répressions policières de l’histoire contemporaine européenne.

Cette matinée sera aussi l’occasion de visionner le film « DIAZ, un crime d’état »(VOSTF) qui retrace la chronologie de cette escalade de violences et en aborde les causes et les responsabilités politiques.
Ces faits advenus il y a vingt années soulèvent encore la question de la répression physique et politique dans les états démocratiques aujourd’hui.

Programa

Mar 252022
 

Viernes 8 avril et le vendredi 15 avril au matin.

Les manifestations auront lieu autour de la projection de deux films en VOSTF, avec une table ronde et des intervenants italiens.

Viernes 8 Abril 2022, 9h-12h30 – Maison de la Recherche (UT2J, métro Mirail Université) Grand Amphi (salle F417 4ème étage)

Filmer le patrimoine culturel immatériel. Le cas d’une fête sarde : la Sartiglia d’Oristano »

Cette journée d’études porte sur le patrimoine culturel immatériel. Elle est interdisciplinaire, organisée par des ethnologues et des italianistes.

Projection en avant-première en France du film « La chevauchée du dieu : la Sartiglia d’Oristano ».

film réalisé par une équipe de chercheurs d’UT2J sur une fête populaire sarde datant de plus de cinq cent ans et très suivie en Sardaigne mais peu étudiée et quasi inconnue en France.

Des spécialistes du patrimoine immatériel (Nicolas Adell), de la Sartiglia (Maurizio Casu) de la sémiotique de la culture sarde (Fanciscu Sedda) avec les auteurs de ce film (Guy Caria et Margherita Orsino) animeront cette matinée.

Programa

 

 

Mar 112022
 

Le cycle RICORDI D’AUTORE fait son grand retour au cinéma Utopia de Tournfeuille.

Séance unique jeudi 24 mars à 21h

 

Pour tous ceux qui le voudront, à partir de 19h, la cave à vin de Tournefeuille Nature&vin vous proposera des vins italiens, et vous trouverez par la même occasion des plats italiens à la carte au bistrot du cinéma.

Places en vente au cinéma et en ligne sur billetweb.fr aux tarifs habituels

 

Mar 042022
 

Moderado por Bernadette DE PASCALE-DALMAS, Conférencière italienne

Jueves 10 Marzo 2022, à 15h El Auditorio del Ayuntamiento 31700 BLAGNAC

FLORENCIA est considérée comme l’une des plus belles villes d’art du monde, son centre historique a été classé au patrimoine mondial de l’UNESCO. La cité des Médicis est le berceau de la Renaissance italienne, De hecho, cette période de splendeur et de renouveau artistique naquit dans cette ville, au XVe siècle.

ARQUITECTURA. Nous découvrirons les plus célèbres architectes florentins de la Renaissance: Brunelleschi (1377-1446), Michelozzo Michelozzi (1396-1472) et Leon Battista Alberti (1404-1472). Nous découvrirons ses églises (Duomo, Santa Croce, Santa Maria Novella, San Lorenzo) et ses palais renaissance (Médicis, Strozzi, Medici-Riccardo et Pitti).

SCULPTURE. Nous découvrirons les œuvres des grands sculpteurs comme Donatello (1386-1466), Verrocchio (1435-1488) et Michel-Ange (1475-1564).

PEINTURE. Nous parlerons des peintres les plus emblématiques de cette période: Fra Angelico (1387-1455), Botticelli (1447-1510) et Léonard de Vinci (1452-1519).

INFORMACIÓN: 05 61 59 51 63 – Correo: bdepascale@Free.fr

SITE: http://amicalefrancoitalienne31700.blogspot.fr/

ENTREE LIBRE

Mar 042022
 

L’activité des Vendredis D’AUTEUR du mois de Mars est dédiée à l’écrivaine Michela Murgia.
Maria e Daniela discuteront avec vous du dernier texte sorti en Avril 2021: «Stai Zitta»,

Stai zitta

Ormai siete dappertutto

Come hai detto che ti chiami?

Brava e pure mamma!

Spaventi gli uomini

Le donne sono le peggiori nemiche delle altre donne

Io non sono un maschilista

Sei una donna con le palle

Adesso ti spiego

Era solo un complimento

Sono solo parole

Il s’agit seulement de mots? La réponse dans le pamphlet de Michela Murgia.

Si vous avez lu le livre, ou vous avez simplement envie d’en discuter, inscrivez-vous à la deuxième rencontre et vous pourrez discuter de ce texte et aussi de l’auteur!

Viernes 18 avec Maria Calpini à 18h30
o
Viernes 25 avec Daniela Jannace à 15h

Vous pouvez choisir donc de participer, au choix, à l’une des deux séances au 35 Calle TER G. Péri, Tlse

PARTICIPATION PAR SEANCE : 5€

PREVIA RESERVACIÓN litalieatoulouse@orange.fr / 05 61 99 68 82

Michela Murgia, née le 3 Junio 1972 à Cabras en Sardaigne, est une romancière et une femme politique italienne, qui a été candidate à la présidence de la région Sardaigne lors des élections régionales de 2014. Elle fait partie de la Nouvelle vague littéraire sarde.

Le frasi citate sopra sono solo alcuni dei capitoli che dividono questo breve pamphlet ricco e argomentato, che è nato da un episodio increscioso che ha riguardato l’autrice, Michela Murgia, quando su Radio Capital è stata messa a tacere con il ripetuto “stai zitta”.
La stessa Murgia afferma: “Agli uomini nessuno chiede di tacere le loro riflessioni interiori, anzi sono cos’ sollecitati a condividerle. Invece al sesso femminile è consigliato di fermarsi alla fase del pensiero afono“.
In questo mondo così vuoto le parole assumono un significato importante capaci di farci sparire dai luoghi pubblici, dalle professioni, dai dibattiti e dalle notizie, e a volte a causa di parole ingiuste si muore nella vita quotidiana, dove il pregiudizio che passa per il linguaggio uccide la nostra possibilità di essere pienamente noi stesse.
Con questo si vuole evidenziare il potere del linguaggio e la sua ingiustizia nei confronti delle donne mettendo il risalto il maschilismo dominante e militante.
E certamente che esistono ancora tantissimi pregiudizi e certi comportamenti nei confronti delle donne che sembrano di routine semplicemente perché li abbiamo sempre visti, ma questo dovrebbe far riflettere che non siano giusti

L’ambizione dell’autrice ( e di tutte noi) é che tra dieci anni una ragazza o un ragazzo, trovandolo su una bancarella, possa pensare sorridendo che per fortuna queste frasi non le dice piú nessuno.