Feb 252021
 

NAPOLI e dintorni
À propos de la ville de Naples, nombreux sont ceux qui ont essayé de la raconter, et personne n’a jamais pleinement réussi. Ne croyez pas que je vais venir, moi aussi, allonger la liste des ingénus qui pensent pouvoir définir en un article l’impossible identité d’une ville et de ses habitants !
Naples est insaisissable et ceux qui écrivent à son propos en tirent chaque fois une impression différente parce que, tout comme le mystère, Naples dépasse l’entendement : elle est à la fois tout et son contraire.
(…)
On ne peut pas la comprendre, on ne peut que l’aimer pour ce qu’elle est et pour ce qu’elle n’est pas, à l’image de tous les grands amours. C’est ainsi que dans ce numéro, plutôt que vous laisser déambuler parmi les ruelles des Quartiers Espagnols, leurs boutiques artisanales et leurs nombreux « vasci » (i bassi) con, pourquoi pas, des photos dignes de cartes postales, nous avons décidé de donner la parole à ses femmes : “Voix de femmes” est l’article qui racontera la ville à travers certaines des Napolitaines – de naissance ou d’adoption, légendaires ou littéraires – les plus entreprenantes, courageuses, fortes, révolutionnaires ; toutes, à leur manière, ont façonné la ville et son caractère complexe.

De ce premier numéro de l’année 2021, il ne pouvait pas être absent, lui, l’Italien par excellence : Dante Alighieri, le poète et père de la langue italienne.
En cette année où l’Italie (le Bel Paese, aurait-il dit) célèbre le sept-centième anniversaire de sa mort, nous avons demandé à Alessandro Barbero, universitaire et grand divulgateur, des éclairages concernant la vie du poète, mais aussi son temps.
(…) Bien sûr, si aujourd’hui nous parlons italien, c’est aussi grâce à Dante Alighieri. L’histoire est bien connue, nous en avons déjà parlé plusieurs fois dans les pages de RADICI : le Sommo Poeta conféra dignité littéraire au florentin en l’adoptant pour la rédaction de son œuvre. Mais jusqu’alors, comment parlait-on, comment écrivait-on en Italie ? Combien y avait-il de langues dans le pays ? Est-il vrai que si les Français ne s’en étaient pas mêlés, nous parlerions aujourd’hui sicilien ? Voilà quelques-unes des questions abordées de ce numéro de RADICI.
L’actualité, pour sa part, est là pour nous rappeler l’un des vices les plus anciens que l’Italie traîne derrière elle : son besoin d’un homme seul aux commandes, de l’homme de la Providence (évidemment ce n’est jamais une femme). C’est comme ça. C’est ce que nous avons systématiquement fait, à chaque fois que l’Italie s’est retrouvée aux prises avec une crise politique, sociale ou économique. Cette fois-ci, le Palazzo Chigi (siège du gouvernement italien) est entre les mains « providentielles » de Super Mario, qui a pris la place d’un simple avocat qu’est Giuseppe Conte. Lorenzo Tosa et Vincent Engel se livrent à leur désormais traditionnel ping-pong à ce propos, s’interrogeant tour à tour sur l’histoire et l’origine de ces hommes providentiels italiens.
Heureusement, Davide Turrini nous rappelle que l’homme ne vit pas que de politique, mais bien aussi de cinéma. Un ceinturon et une paire de bottes suspendus qui traînent dans le sable du désert. Cela ne vous dit rien ? Un cowboy, allongé sur une charrette, qui baille sous un chapeau couvrant son visage et la camera qui zoome d’abord sur le personnage entier avant de se déplacer vers ses pieds nus. Sì, sur ce chariot somnole, tranquille, Terence Hill. “Lo chiamavano Trinità”… comment ne pas s’en souvenir. Il film, sorti le 22 Dicembre 1970, fut un succès énorme autant qu’inattendu. Terence Hill se raconte dans une interview riche de souvenirs. Et il voudrait bien distribuer quelques gifles, mais à une certaine politique qui ne s’occupe pas des problèmes des gens. D’ailleurs, pour mémoire : “Dieu pardonne… moi pas !”

Feb 252021
 

Finalmente Folegandros é nato, lo potete trovare online a ibs.it, e sarà progressivamente nelle altre librerie online, cosi come nelle altre librerie tradizionali.

Sono sicuro che non vi deluderà.

Sinossi

Navas Garcia é un investigatore privato ormai a riposo, perché stanco di una vita da giramondo. Si trova ad affrontare senza preavviso una nuova investigazione che mai avrebbe immaginato di dover condurre: la scomparsa di sua nipote Paloma e la ricerca delle cause e dei responsabili della sua presunta morte.

Quello che avete tra le mani é un libro sull’assenza, quella di una donna che viene cercata dappertutto ma non è da nessuna parte. E’ la storia di Paloma, una giovane donna, senza fissa dimora e dedita alla droga, ritrovata morta su una spiaggia. una figura femminile misteriosa che, benché assente nello spazio, si ripropone attraverso memorie e testimonianze lasciate a beneficio di quelli che la cercano.

Ma é anche la storia di Navas, investigatore atipico e filosofo fuori dai registri, con le sue abitudini orientali e i suoi bisogni di introspezione, generati dal rimorso per aver abbandonato suo figlio Jesus, ospite in un istituto psichiatrico da quando la madre é morta in un incidente d’auto.

La scena si svolge a Folegandros, isola minore delle Cicladi, un universo tranquillo che niente sembra scuotere.

Ambigui personaggi appaiono, uscendo e rientrando dall’ombra per nascondergli informazioni preziose, mentre attraverso dialoghi improbabili Jesus e Paloma, in un tempo traslato, gli rivelano sprazzi delle loro sofferenze e delle loro intuizioni, inviandogli messaggi dal profondo di un mondo lontano.

Dall’isola l’inchiesta si sposta poi in altri luoghi d’Italia e d’Europa, alla ricerca del bandolo che possa spiegare una strana vicenda.

Navas sarà solo in questa ricerca, per riuscirci dovrà rischiare la sua propria vita, ma lui é tenace e caparbio. Ci aspetta un finale surreale. Ruoli e situazioni si capovolgono, i presunti buoni possono essere cattivi e le persone morte rimangono tali anche se sono più vive che mai.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Frase 4a di copertina
Un mistero sembra essere stato inghiottito dalle casette a picco sul mare, affianco alle nuvole bianche che sprofondano nell’Egeo. Un uomo cammina a lungo per impregnarsi dell’essenza e della magia dell’isola di Folegrandos, memorizzarne i percorsi per carpirne i segreti e farsi restituire la chiave dell’arcano.

 

Nota biografica di Luigi Mollo

Luigi Mollo nasce a Napoli e vi rimane fino a poco dopo i suoi 20 anni, ben presto sentirà il bisogno di vedere altri orizzonti e fare nuove esperienze, anche se la cultura partenopea rimane una componente importante della sua personalità.

E’ laureato a pieni voti in Sociologia con specializzazione in Antropologia Culturale, con una tesi di ricerca sulla magia nei paesini della Basilicata.

Il suo amore per lo spazio lo ha portato a lavorare nell’industria aeronautica, dapprima a Torino, poi a Napoli e alla fine a Tolosa in Francia, dove ha vissuto per più di trentacinque anni, ricoprendo diversi incarichi dirigenziali in settori di punta di una grande azienda leader nella costruzione di aerei regionali.

Il suo interesse per le culture e i temi socio-psicologici lo hanno sempre motivato per i viaggi e la comunicazione. Ha vissuto per diversi anni a Singapore nel sud-est asiatico, dove ha potuto conoscere ed amare l’arte e la cultura delle regioni dell’Asia e del Pacifico.

Da sempre appassionato di letteratura, con un debole per gli autori nordamericani e giapponesi tra i due secoli. La poesia é la forma espressiva con cui si é confrontato fin dalla giovane età e attraverso la quale ha provato ad esprimere i desideri e le sofferenze dello spirito. Recentemente rientrato in Italia é approdato alla narrativa, perché desideroso di poter sperimentare le diverse tecniche espressive proprie a questo genere.

Ha pubblicato nel 2014 « L’acqua, la Vita, il Sogno », un libro di viaggio e di riflessioni, e poi nel 2018, « MARIPOSA », racconti e poesie in lingua italiana e francese. Ancora nel 2018 é uscita la sua raccolta di poesie « Le parole della nostra vita ».

 

 

 

Ago 202020
 

JOURNÉES PORTES OUVERTES A UTOPIA BORDEROUGE

– A partir de 15h : Notre équipe vous accueillera pour renseignements sur notre Association, ses activités et ses cours de langue.

– 18h : en avant première, projection du Pellicola “CITOYEN DU MONDE” de Gianni Di Gregorio
Tarif préférentiel : 5€

 

UTOPIA BORDEROUGE : 59 Avenue Maurice Bourges-Maunoury, 31200 Tolosa

Apr 162020
 

C’EST IMPORTANT DE NOUS AIDER

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Ce nouveau numéro est certainement spécial en raison de la période que nous traversons et des changements qui se sont imposés à nous.
Un numéro qui montre une Italie qui ne baisse pas les bras, une Italie qui veut s’en sortir : l’Italie du savoir-faire, de la générosité et de l’altruisme.

Vous trouverez ainsi la contribution de l’ancien maire de la ville éternelle, Walter Veltroni, qui nous accompagne dans les rues d’une « ROMA DESERTA », entre rêve et cauchemar. Il nous guide dans un voyage plein de souvenirs et d’amour pour imaginer la suite.

Nous irons également à Bologne, la ville qui, quelques semaines seulement avant le début de l’épidémie, avait demandé à l’Unesco de déclarer Patrimoine de l’Humanité ses « prestigieux et uniques » 64 km de portiques.

Après Bologne, c’est une plongée dans le passé de la Renaissance pour célébrer les 500 ans de la disparition du peintre Raphaël.

Nous découvrirons aussi, grace à la richesse des diversités culturelles italiennes. C’est le cas de la présence séculaire des communautés albanaises dans la Péninsule, et tout particulièrement en Calabre, qui accueille le nombre le plus important de villages d’origine arbëreshë.

Pour notre rubrique Cinéma, nous avosn recueilli les impressions de Giorgio Diritti, réalisateur du film sur le peintre émilien Antonio Ligabue, Volevo nascondermi, film qui a valu à Elio Germano le prix d’interprétation masculine au dernier Festival de Berlin.

Et puis nous allons vous parler de l’idée surprenante d’une entreprise familiale de Livourne qui a produit, avec des méthodes antiques, un vin affiné en mer. Sì, vous avez bien lu, dans l’eau salée ou du moins en partie. Difficile à croire, et pourtant cette perle œnogastronomique sera bientôt disponible pour les passionnés de vin.

Encore une excellence du Made in Italy, la fabrication des jeans les plus écologiques de la planète. Un denim qui ne pollue pas, produit en Italie par une entreprise milanaise, grâce à l’utilisation de champignons et d’algues.

En cette période sombre, nous avons fait le pari de donner couleurs et fondements à nos efforts. RADICI a relevé ce défi, il reste maintenant votre réponse dont nous ne doutons pas qu’elle sera, comme toujours, forte et généreuse. La vocation de la revue RADICI est d’incarner un espace de réflexion et de beauté quotidienne, si nécessaire en ce moment. Et c’est peut-être cela qui a déterminé, grâce à vous, le succès de RADICI.

Or, continuer à vous fournir des informations de qualité a un coût important, et en raison de l’urgence sanitaire dans laquelle nous sommes et de l’absence de visibilité qu’elle engendre, nous avons plus que jamais besoin de votre soutien. Le soutien le plus fort que vous puissiez nous apporter, c’est de vous abonner, de vous réabonner et si possible de proposer à vos amis de s’abonner à leur tour.

Pour ceux qui le désirent et le peuvent, vous pouvez aussi FAIRE UN DON supplémentaire pour soutenir la revue.
Merci du fond du cœur et, soprattutto, nous vous souhaitons à tous, in Francia, in Italia, partout dans le monde, de traverser cette période éprouvante le plus sainement et le plus sereinement possible.

Rocco Femia

 

Feb 202020
 

L’association des Piémontais de Montauban et sa Région organise, à la salle des fêtes de La Ville Dieu du temple le dimanche 5 Aprile 2020, un spectacle dansant animé par le trio féminin folk «Le Mondine » qui nous vient du Piémont Italien.

Elles interprètent des chants de la culture populaire italienne qu’elles font revivre avec succès à travers l’Italie. Elles ont vendu plus de 220 000 cd par l’intermédiaire de « la Fonola Dischi » qui est la plus ancienne et la plus importante maison de disques pour la distribution en Italie, de musique et de danse, de la tradition populaire italienne.

Elles sont aidées en cela par leur producteur, Carlo Pescatore, et leur passage à Canale Italia, télévision nationale italienne.

“Le Mondine” les travailleuses historiques des rizières de Vercelli, aujourd’hui sont un souvenir, une partie de l’histoire italienne, mais leur nom est resté indélébile, une icône du travail féminin et de leurs droits.

Le trio vocal est aujourd’hui composé de : Letizia Borgaro, Barbara Leva et Giulia Zingales.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Des gourmandises et une boisson seront offertes durant le spectacle. Il sera possible de danser durant le tour de chants.