L’éclosion du comique rossinien.
Dramma giocoso en deux actes sur un livret d’Angelo Anelli créé le 22 mai 1813 au Teatro San Benedetto, Venise.
L’éclosion du comique rossinien.
Dramma giocoso en deux actes sur un livret d’Angelo Anelli créé le 22 mai 1813 au Teatro San Benedetto, Venise.
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Aveva 57 anni. Tra i protagonisti della sua musica spesso gli ultimi: agricoltori, muratori, mendicanti. Scoperto dalla Francia, la consacrazione all’Olympia. « Gianmaria se n’è andato senza fare rumore. Restano le sue canzoni, le sue parole. Resta il suo essere stato uomo dritto, padre, figlio, marito, fratello, amico ». Tantissimi i fan che stanno esprimendo il loro cordoglio ricordando la sua attenzione per gli ultimi dai migranti ai poveri.
Il cantautore piemontese cantava la dignità degli uomini, l’amore per le persone. Nato nelle campagne del cuneese, parlava sempre con fierezza delle sue origini contadine e faceva concerti in tutta Europa. In un’intervista dello scorso anno il musicista aveva raccontato a Serra la sua lotta contto il cancro.
Gianmaria Testa era un artista, libero e indipendente, in grado di costruire un mondo musicale che, ricco di riferimenti, stava in piedi per proprio conto, nel quale immergersi e lasciarsi trasportare.
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Cultivateur d’indispensables chansons italiennes pendant une vingtaine d’années,Gianmaria Testa est mort hier, 30 mars, à l’âge de 57 ans.
En mai 2015, le chanteur italien Gianmaria Testa avait annoncé qu’il était atteint d’une tumeur incurable.
La nouvelle de sa mort, à l’âge de 57 ans, est tombée le 30 mars à midi.
Discrètement chéri en France, le Piémontais avait d’abord mené de front sa carrière de chanteur et son métier de chef de gare. Sa musique voyageait : de la chanson italienne passée par le jazz, le folk et les traditions sud-américaines, toujours emmenée par une belle voix chaude et confidente. Une bouille aussi : bouclettes, lunettes rondes et grosse moustache, l’attirail indispensable du cultivateur cultivé, élevé à la ferme, qu’il était.
Gianmaria Testa avait sorti une dizaine d’albums depuis ses débuts en 1995, et collaboré avec son ami l’écrivain Erri de Luca.
Son album de 2006, Da questa parte del mare, abordait en onze chansons le thème des migrants – dès 1991, Gianmaria Testa avait été témoin dans les Pouilles de l’arrivée tragique de réfugiés africains.
Il déclarait alors à notre journaliste Richard Robert : « Aucune loi, aucun mur n’arrêtera les gens qui vont à pied pour échapper à la misère. Les Italiens devraient être bien placés pour le savoir.
En l’espace de deux générations, ils ont oublié que c’était eux qui, jadis, partaient à l’étranger et se faisaient traiter de tous les noms ».
Bientôt des infos sur la nouvelle production musicale de RADICI consacrée à Fabrizio De André.
Musique, théâtre et images sur un des plus grands « auteurs-compositeurs » italiens du XXe siècle.
De « Via del Campo » jusqu’à « Volta la carta » en passant par « Bocca di Rosa », « La canzone di Marinella », « Khorakhané », « Smisurata preghiera », « Il Testamento di Tito », « Fiume Sand Crek », « Una storia sbagliata » et bien d’autres chansons.
Presque deux heures d’émotion et de grande musique.
Un spectacle à proposer chez vous dans les théâtres
mais aussi dans les écoles et universités.
Une démarche éducative et culturelle qui séduira un large public pour son contenu et sa beauté musicale.
Avec la participation de musiciens et de chanteuses de haut niveau:
Julien Ursule, violon
Florent Hortal, guitare soliste
Fabien Tournier, percussions
Giovanni Canzanella, piano
Benjamin Naud, batterie
Henri Tournier, basse
Americo Piaggesi, guitare et harmonica
Simona Rossella Boni, chant
Agnese Migliore, chant
Margherita Oscuro, chant
© Foto Reinhold-Kohl – Fondazione Fabrizio De André
Informations production : 05 62 17 50 37 ou 06 71 36 93 19 – mail : redaction@radici-press.net
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Après la Suisse, l’Italie et l’Allemagne LA SETTIMA LUNA arrive à Paris au FGO-Barbara le vendredi 18 mars 2016 avec un spectacle entièrement consacré à la musique de Lucio Dalla. Une soirée avec les chansons les plus diversifiées du chanteur Bolognais.
Le grand succès de ce spectacle viens d’une démonstration de chefs-d’œuvre comme Caruso et d’autres qui ont fait le tour du monde et sont aimés par tout le monde. LA SETTIMA LUNA réunit des musiciens suisses et italiens, dont Jöst Müller à la batterie et Marcel Stalder à la basse. S’ajoute également « Lino », chanteur bien connu dans l’underground Zurichois (vocals, piano et accordéon) et Gianni Salvioni (guitare et vocals) producteurs de Lucio Dalla. Aux claviers Claudio Stefanizzi et à la guitare Tommy Tedesco.
Le 1er Mars, a été le premier anniversaire de la mort de Lucio Dalla, tandis que le 4 Mars, le chanteur inoubliable aurait eu soixante-dix ans.
Plusieurs initiatives ont été organisées pour rendre hommage à la mémoire de Lucio Dalla.
et chef d’orchestre avec l’Orquestra de Cadaques et le pianiste Bertrand Chamayou
Gianandrea Noseda: Directeur du « Teatro Regio » de Turin et premier chef invité de l’Orchestre Philharmonique d’Israël, a été désigné chef d’orchestre de l’année 2015 par les Musical America Awards.
Il est également premier chef invité du superbe Orquestra de Cadaqués, fondé en 1988.
Après un hommage à l’Espagne avec Sor, ils se consacreront à la grande tradition germanique avec la Quatrième symphonie de Schumann, si majestueuse, et le volcanique 5e concerto pour piano de Beethoven, le célèbre Empereur.
Sor
Ouverture du ballet Hercule et Omphale
Beethoven
Concerto n°5, en mi bémol majeur, L’empereur
Schumann
Symphonie n°4, en ré mineur
Fin de concert estimée à 21h45
concert avec entracte
Le Maestro, auteur de plus de 500 musiques de films dont Le Bon, la Brute et le Truand, Il était une fois dans l’Ouest ou encore Le Clan des Siciliens, a reçu une ovation de la part de toutes les stars réunies au Dolby Theatre. Les larmes aux yeux, il a rendu hommage à John Williams, qui concourait aussi pour la musique de Star Wars, ainsi qu’à son ami Quentin Tarantino. Une récompense amplement méritée pour celui qui avait déjà reçu un Oscar honorifique en 2007 pour récompenser l’ensemble de sa carrière.
Durante l’88esima edizione dei premi Oscar 2016, il premio per la Miglior colonna sonora originale è stato assegnato al compositore italiano Ennio Morricone per The Hateful Eight di Quentin Tarantino.La cerimonia di premiazione si è tenuta al Dolby Theatre di Los Angelese domenica 28 febbraio e quello ricevuto da Morricone è il suo primo Oscar. Morricone ha 87 anni ed è la persona più anziana ad aver vinto un Oscar per la Miglior colonna sonora: era il favorito dopo aver vinto quest’anno anche il Golden Globe e il premio BAFTA. Gli altri candidati per lo stesso premio erano John Williams per Star Wars: il risveglio della Forza, Thomas Neuman per la colonna sonora de Il ponte delle spie, Jóhann Jóhannsson per Sicario e Carter Burwell per Carol. Al momento della premiazione, tutto il pubblico del Dolby Theatre si è alzato in piedi ad applaudire Morricone, che ha ricevuto l’Oscar dal produttore e compositore statunitense Quincy Jones
Fabrizio De André est un auteur-compositeur-interprète italien, né à Gênes le 18 février 1940 et mort à Milan le 11 janvier 1999.
La plupart des textes de ses chansons racontent les histoires d’exclus, de rebelles et de prostituées, et elles ont été considérées par la plus grande partie des critiques comme d’authentiques poésies, et incluses dans les anthologies scolaires de littérature italienne1.