OMBRES BLANCHES: RENCONTRE avec Danièle Robert, traductrice de La Divine Comédie

 

Mercredi 17 avril 2019 de 18H00 à 20H00

OMBRES BLANCHES / Salle de conférences/3 Rue Mirepoix, 31000 Toulouse

Rencontre avec Danièle Robert, traductrice de La Divine Comédie.
« Purgatoire »
de Dante Alighieri, récemment parue aux éditions Actes Sud.

Rencontre animée par Muriel Gallot, et organisée avec le concours de la Dante Alighieri, Comité de Toulouse.

Danièle Robert est écrivain (Les Chants de l’aube de Lady Day, Le Foulard d’Orphée, aux éditions Le temps qu’il fait), critique et traductrice (latin, italien et italien médiéval, anglais). Elle a – dans le domaine de la poésie – traduit, préfacé et annoté aux éditions vagabonde La Pensée prise au piège de Michele Tortorici, Rime de Guido Cavalcanti (prix Nelly-Sachs 2012) et, aux éditions Actes Sud, les œuvres de Catulle, Ovide ainsi que les 2 premiers volets de La Divine Comédie : Enfer en 2016 et Purgatoire en 2018. Elle achève actuellement la traduction et l’édition critique de Paradis. Danièle Robert est également directrice de la collection de littérature italienne « Stilnovo » au sein des éditions Chemin de ronde.

OMBRES BLANCHES: RENCONTRE avec Danièle Robert, traductrice de La Divine Comédie

 

Mercredi 17 avril 2019 de 18H00 à 20H00

OMBRES BLANCHES / Salle de conférences/3 Rue Mirepoix, 31000 Toulouse

Rencontre avec Danièle Robert, traductrice de La Divine Comédie.
« Purgatoire »
de Dante Alighieri, récemment parue aux éditions Actes Sud.

Rencontre animée par Muriel Gallot, et organisée avec le concours de la Dante Alighieri, Comité de Toulouse.

Danièle Robert est écrivain (Les Chants de l’aube de Lady Day, Le Foulard d’Orphée, aux éditions Le temps qu’il fait), critique et traductrice (latin, italien et italien médiéval, anglais). Elle a – dans le domaine de la poésie – traduit, préfacé et annoté aux éditions vagabonde La Pensée prise au piège de Michele Tortorici, Rime de Guido Cavalcanti (prix Nelly-Sachs 2012) et, aux éditions Actes Sud, les œuvres de Catulle, Ovide ainsi que les 2 premiers volets de La Divine Comédie : Enfer en 2016 et Purgatoire en 2018. Elle achève actuellement la traduction et l’édition critique de Paradis. Danièle Robert est également directrice de la collection de littérature italienne « Stilnovo » au sein des éditions Chemin de ronde.

Rencontre avec Danièle Robert, traductrice de La Divine Comédie

 

Mercredi 17 avril 2019 de 18H00 à 20H00

OMBRES BLANCHES / Salle de conférences/3 Rue Mirepoix, 31000 Toulouse

Rencontre avec Danièle Robert, traductrice de La Divine Comédie.
« Purgatoire »
de Dante Alighieri, récemment parue aux éditions Actes Sud.

Rencontre animée par Muriel Gallot, et organisée avec le concours de la Dante Alighieri, Comité de Toulouse.

Danièle Robert est écrivain (Les Chants de l’aube de Lady Day, Le Foulard d’Orphée, aux éditions Le temps qu’il fait), critique et traductrice (latin, italien et italien médiéval, anglais). Elle a – dans le domaine de la poésie – traduit, préfacé et annoté aux éditions vagabonde La Pensée prise au piège de Michele Tortorici, Rime de Guido Cavalcanti (prix Nelly-Sachs 2012) et, aux éditions Actes Sud, les œuvres de Catulle, Ovide ainsi que les 2 premiers volets de La Divine Comédie : Enfer en 2016 et Purgatoire en 2018. Elle achève actuellement la traduction et l’édition critique de Paradis. Danièle Robert est également directrice de la collection de littérature italienne « Stilnovo » au sein des éditions Chemin de ronde.

Rencontre avec Valerio Varesi autour de son roman « Les mains vides »

 

Mercredi 24 avril 2019 de 18H00 à 20H00

OMBRES BLANCHES: Salle de conférences/3 Rue Mirepoix, 31000 Toulouse

Rencontre avec Valerio Varesi autour de son roman Les mains vides, qui vient de paraître aux éditions Agullo. Avec le soutien de Toulouse Polars du Sud

Valerio Varesi est né à Turin le 8 août 1959 de parents parmesans. Diplômé en philosophie de l’Université de Bologne après une thèse sur Kierkegaard, il devient journaliste en 1985. Il est l’auteur de 11 romans au héros récurrent, dont Le Fleuve des brumes (Agullo, 2016) nominé au prestigieux prix littéraire italien Strega ainsi qu’au Gold Dagger Award en Grande Bretagne. Les enquêtes du commissaire Soneri, amateur de bonne chère et de bons vins parmesans, sont traduites en huit langues. Parmi ses parutions récentes aux éditions Agullo : La pension de la via Saffi (2017) et Les ombres de Montelupo (2018).

RENCONTRE avec Guy Scarpetta autour de son ouvrage « Guido »

 

paru aux Éditions Gallimard. En collaboration avec le cinéma Le Cratère (Salle des Conférences)

« Guido, un antifasciste italien, exilé en France, participe très tôt à la Résistance. Arrêté, il est déporté dans l’un des derniers convois : ce « Train Fantôme « , qui mit des semaines à atteindre Dachau, tandis que la France se libérait. Voyage dont il n’est jamais revenu. »

GUY SCARPETTA a régulièrement collaboré à des revues comme » Tel Quel, » Art press, Positif et au Monde diplomatique.
Il est l’auteur de plusieurs essais ainsi que de plusieurs romans dont « La Guimard » (Gallimard 2008), « Guido » (Gallimard,2014) et « Raoul Ruiz » : Le magicien (Les Impressions Nouvelles, 2015).
L’œuvre de Guy Scarpetta couvre aussi bien le cinéma, la musique, la danse que la peinture ; mêle les genres et les époques ; interroge la manière dont les arts interagissent les uns sur les autres.

RENCONTRE avec Guy Scarpetta autour de son ouvrage « Guido »

 

paru aux Éditions Gallimard. En collaboration avec le cinéma Le Cratère (Salle des Conférences)

« Guido, un antifasciste italien, exilé en France, participe très tôt à la Résistance. Arrêté, il est déporté dans l’un des derniers convois : ce « Train Fantôme « , qui mit des semaines à atteindre Dachau, tandis que la France se libérait. Voyage dont il n’est jamais revenu. »

GUY SCARPETTA a régulièrement collaboré à des revues comme » Tel Quel, » Art press, Positif et au Monde diplomatique.
Il est l’auteur de plusieurs essais ainsi que de plusieurs romans dont « La Guimard » (Gallimard 2008), « Guido » (Gallimard,2014) et « Raoul Ruiz » : Le magicien (Les Impressions Nouvelles, 2015).
L’œuvre de Guy Scarpetta couvre aussi bien le cinéma, la musique, la danse que la peinture ; mêle les genres et les époques ; interroge la manière dont les arts interagissent les uns sur les autres.

RENCONTRE avec Guy Scarpetta autour de son ouvrage « Guido »

 

paru aux Éditions Gallimard. En collaboration avec le cinéma Le Cratère (Salle des Conférences)

« Guido, un antifasciste italien, exilé en France, participe très tôt à la Résistance. Arrêté, il est déporté dans l’un des derniers convois : ce « Train Fantôme « , qui mit des semaines à atteindre Dachau, tandis que la France se libérait. Voyage dont il n’est jamais revenu. »

GUY SCARPETTA a régulièrement collaboré à des revues comme » Tel Quel, » Art press, Positif et au Monde diplomatique.
Il est l’auteur de plusieurs essais ainsi que de plusieurs romans dont « La Guimard » (Gallimard 2008), « Guido » (Gallimard,2014) et « Raoul Ruiz » : Le magicien (Les Impressions Nouvelles, 2015).
L’œuvre de Guy Scarpetta couvre aussi bien le cinéma, la musique, la danse que la peinture ; mêle les genres et les époques ; interroge la manière dont les arts interagissent les uns sur les autres.

RENCONTRE avec Guy Scarpetta autour de son ouvrage « Guido »

 

paru aux Éditions Gallimard

En collaboration avec le cinéma Le Cratère

« Guido, un antifasciste italien, exilé en France, participe très tôt à la Résistance. Arrêté, il est déporté dans l’un des derniers convois : ce « Train Fantôme « , qui mit des semaines à atteindre Dachau, tandis que la France se libérait. Voyage dont il n’est jamais revenu. »

GUY SCARPETTA a régulièrement collaboré à des revues comme » Tel Quel, » Art press, Positif et au Monde diplomatique.
Il est l’auteur de plusieurs essais ainsi que de plusieurs romans dont « La Guimard » (Gallimard 2008), « Guido » (Gallimard,2014) et « Raoul Ruiz » : Le magicien (Les Impressions Nouvelles, 2015).
L’œuvre de Guy Scarpetta couvre aussi bien le cinéma, la musique, la danse que la peinture ; mêle les genres et les époques ; interroge la manière dont les arts interagissent les uns sur les autres.

Rencontre avec JL Nardone et J. Malherbe Galy, traducteurs de l’ouvrage de Carlo Sgorlon

 

« Le Coquillage d’Anataï « ( Éditions du Rocher, 2017). La Conchiglia di Anataj » Libri Mondadori – 1993

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Présentation :
Dans la Russie du tsarisme finissant, au coeur d’une Sibérie dangereuse et grandiose, une diaspora de Frioulans, composée de tailleurs de pierres, de menuisiers, de terrassiers et de forgerons, participe à la construction de la ligne transsibérienne. Ponctuée d’épisodes tragiques, leur lutte est épuisante, aggravée par des conditions de vie extrême.Avec les Tartares et les Mongols, ils forment une communauté villageoise chaleureuse et contrastée, même si le sentiment d’être en terre étrangère est toujours vif en eux. Ensemble, ils poursuivent cette tâche titanesque, artisans acharnés de la modernité, dans une nature vierge, sauvage et glacée où vivent les forces primitives. Une lutte forcenée où ils prennent la stature de héros.Le vieil Anataï, chasseur légendaire, attaché à son grand coquillage de mer, est la mémoire de cette terre mythique et Aïdym, la jeune Kirghize, la déesse tutélaire du foyer.Sgorlon signe un roman riche d’humanité, traversé par le souffle puissant de la tragédie et de l’épopée. Une oeuvre envoûtante.
Carlo Sgorlon (Cassacco 1930 – Udine 2009) a étudié à l’École normale de Pise et à Munich. Il a mené une carrière de professeur parallèlement à celle d’écrivain toujours attentif à la vie de son petit peuple frioulan, à la croisée des frontières de l’Italie du Nord. Auteur d’une vingtaine de romans, il obtenu en 1973 le prix Super Campiello pour son roman « Il Trono di legno » (Le trône de bois) et en 1983 pour « La Conchiglia di Anataj » (Le Coquillage d’Anataï). Il s’est aussi vu décerner le Premio Strega en 1985 puis les prix: Premio Napoli et Nonino en 1989. Il fait aujourd’hui l’objet d’un hommage unanime et de récentes études critiques saluent son oeuvre singulière.