Mai 222017
 

Journée d’études organisée par l’ Irpall (Institut de Recherche Pluridisciplinaire en Arts, Lettres et Langues: http://irpall.univ-tlse2.fr/) / Université Toulouse – Jean Jaurès sur :

Contact: Orsino Margherita Responsable scientifique du programme « opéra contro »
Lieu : Toulouse – Campus du Mirail / Maison de la Recherche D30

PROGRAMME
Matin: -09h50 Accueil
Ouverture de la journée par Michel Lehmann directeur de l’Institut IRPALL
Modératrice : Giovanna Montermini

-10h00 – 10h20 Jean-Pierre Zubiate (Université Toulouse-Jean Jaurès)
«L’oeuvre enregistrée de Jean-Roger Caussimon : la chanson libertaire et l’audience confidentielle»

-10h20 – 10h40 Cécile Prévost-Thomas (Université Sorbonne Nouvelle)
« Mai 68 en chansons : héritages et filiations »

-10h40 – 11h00 Margherita Orsino / Antonella Capra (Université Toulouse-Jean Jaurès)
«Les intellectuels et la chanson aux alentours de Mai 68 en Italie, de Pier Paolo Pasolini à Dario Fo»

-11h10 Discussion
-12h00 – 13h30 Pause

Après – Midi
Modératrice : Christine Calvet

-13h40 – 14h00 Perle Abbrugiati (Université Aix-Marseille)
«Francesco Guccini : les détournements de figures littéraires, délégation de discours engagés.»

-14h00 – 14h20 Walter Zidaric (Université Nantes)
«Chanson de « lutte » pour le progrès des moeurs de la société italienne post 68 : le cas de Renato Zero »

-14h20-14h40 Pause
Modérateur : Michel Lehmann

-14h40 – 15h00 Stéphane Hirschi (Université Valenciennes)
«Le paradoxe de la lutte politique en chanson : lutte frontale ou décalée ; entre Julien Clerc, Gainsbourg, Lavilliers et Stromae»

-15h00 – 15h20 Emmanuelle Guerrero et Marc Gruas (Université Toulouse-Jean Jaurès)
« L’été fut chaud » en 1975 dans l’Alentejo : chanson engagée et réforme agraire au Portugal »

-15h20 – 15h40 Discussion

-15h40 Clôture de la journée.

Avr 142017
 

Retrouvez la vidéo – recette sur notre page CULTURE / CUISINE / VIDEOS


La légende veut que quelques habitants de Naples aient porté en don à la sirène Parthénope des grains pleins de soleil, une ricotta candida (symbole de pureté), des œufs (la vie qui se renouvelle), de l’essence de fleurs d’orangers pour rappeler la jeunesse du printemps et plein de fruits confits qui lui auraient apporté l’allégresse.
La sirène aurait offert toutes ces douceurs aux dieux des abysses qui les transformèrent en un gâteau qui rappelait son chant. Ceci n’est qu’une légende.
Par contre, l’histoire raconte que la Reine Marie Thérèse d’Autriche finalement sourit en mangeant une tranche de pastiera. Selon les « on dit » le roi s’exclama « pour voir sourire à nouveau mon épouse, je devrai attendre la prochaine Pâques »

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Ingrédients :

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– Pour la pâte : 450 gr de farine, 2 œufs entiers + 1 jaune, 200 gr de sucre, 150 gr de beurre.

– Pour le remplissage : 100 ml lait, 1 boite de grano (blé) – vous pouvez en trouver dans les magasins d’alimentation italiens – 30 gr de beurre, 2 citrons râpés non traités, 600 gr de ricotta, 500 gr de sucre, 3 œufs entiers + 3 jaunes, 1/2 p. cuillère de cannelle, 2 p. cuillères d’eau de fleurs d’orangers, 150 gr. cédrat et oranges confites, sucre glace.


* Préparez la pâte en mélangeant les ingrédients cités ci-dessus.

* Dans une casserole, chauffez à feu doux le lait, le « grano », le beurre et l’écorce de citron râpé. Tournez souvent pour que cela n’attache pas au fond.

* A part, mélangez la ricotta, le sucre, les œufs, un peu de cannelle, 2 cuillères d’eau de fleurs d’orangers, l’écorce de citron râpé, les fruits confits coupés en petits dés. Ajoutez quand celui-ci est bien refroidi le contenu de la casserole.

* Etendez la pâte dans le moule beurré et y verser le mélange. Recouvrez le tout de bandes de pâte (voir la photo) coupées avec une roulette dentelée (comme celle des bugnes).

* Mettez au four préchauffé à 180° (ventilé) pendant 1 heure puis à 140° (normal) pendant 3/4 d’heure.

Avr 142017
 

Retrouvez la vidéo – recette sur notre page CULTURE / CUISINE / VIDEOS
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L’Histoire de la « Colomba »


En Italie, un des desserts favoris des fêtes familiales de Pâques est
la Colomba, une sorte de brioche aux fruits confits en forme de colombe. Equivalent de ce que représentent le panettone ou le pandoro pour le Noël à l’italienne, la colomba aurait, comme toujours, d’historiques et anciennes origines, plus ou moins fantaisistes selon les récits.

Au VIe siècle, le roi des Lombards, le conquérant Elboino, lors du siège de Pavie, demanda un tribut de 12 jeunes filles, les plus belles de la cité.

Un vieil homme eut l’idée alors d’offrir, le jour de Pâques ,un pain sucré en forme de colombe à Elboino, en symbole de paix.

Séduit, le roi lui promit de toujours respecter les colombes.

On amena ensuite les jolies otages au roi qui leur demanda comment elles se nommaient. La première répondit « Colombe ». Lorsque le roi dit à la seconde « quel est ton nom? », elle eut la même réponse: « colombe ». Tour à tour, elles donnèrent toutes ce prénom. Par cet heureux stratagème, le roi fut convaincu de ne pas détruire la cité, il y installa son pouvoir et fit en sorte que l’on y respecte toujours les colombes…

En réalté, c’est Dino Villani, directeur de la publicité de Motta, déjà célèbre grâce à ses panettone et pandoro, qui proposa l’idée de ce dessert de Pâques, proche du panettone, durant les années 1930, histoire de rentabiliser les machines ne servant alors que pour Noël 😉 !

Fév 282017
 

Selon les régions, en Italie, le nom donné est différent: « frappe », « bugie », « cenci »…
Les origines de ces gourmandises remontent à l’époque de la Rome Antique où, déjà, elles étaient préparées lors d’une fête religieuse dédiée à Saturne. Elles s’appelaient alors « frictilia ». Bien sûr elles ont traversé les frontières, et l’on retrouve notamment en France les « bugnes » qui se sont inspirées des chiacchiere.

Pour visionner la Recette Vidéo en Italien, Cliquez sur l’Onglet: CUISINE-VIDEO


Ingrédients (6 personnes)

  • 50g de sucre
  • Du sucre glace
  • De l’huile de friture
  • Un sachet de sucre vanillé
  • Un zeste d’orange râpé
  • 50g de beurre mou
  • 2 œufs
  • 2 c à s de vin blanc
  • 300g de farine

Préparation

Étape 1 :

Déposer la farine en fontaine puis ajouter tous les autres ingrédients. Bien mélanger et former un boudin que vous couvrirez de pellicule transparente. Laisser reposer 2 heures au réfrigérateur.

Étape 2 :

Découper la préparation en 4, pour plus de facilité, et la passer dans la machine à pâte ou bien l’étaler au rouleau sur une surface farinée jusqu’à l’obtention d’une épaisseur de 2 mm.

Étape 3 :

A l’aide d’une roulette dentelée, créer des bandes de 4 cm de largeur et 7/8 cm de longueur (mais vous pouvez très bien choisir vos mesures selon vos goûts)

Étape 4 :

Selon la largeur de vos chiacchiere, faire une ou deux entailles au milieu. Faire frire quelques instants dans de l’huile bouillante (les chiacchiere ne doivent pas être trop dorées, mais être tout de même suffisamment croquantes), pensez à tourner le coin de certaines bandes pour donner des formes différentes.

Oct 142016
 

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Il giullare sommo, «Mistero Buffo» il suo capolavoro.
L’imponente corpus drammaturgico, quasi un centinaio di testi teatrali, gli valse nel 1997 il Nobel per la letteratura. Il sodalizio di vita e arte con Franca Rame.
Camera ardente da venerdì al Piccolo Teatro di Milano. Funerali sabato in piazza Duomo

Juin 092016
 

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L’Association Slow Food et Terra dei Sensi organisent une dégustation de produits de la région des Marches le samedi 18 juin à 18h , 47 route de Blagnac à Toulouse!

La réservation est obligatoire au 06 76 78 54 27 ou en écrivant à slowfoodatoulouse@gmail.com !

Pour information contactez Elisa Fabiani via FB: https://www.facebook.com/elisa.fabiani?pnref=story

http://www.terradeisensi.it/shop/

http://www.slowfood.fr/