Durante l’88esima edizione dei premi Oscar 2016, il premio per la Miglior colonna sonora originale è stato assegnato al compositore italiano Ennio Morricone per The Hateful Eight di Quentin Tarantino.La cerimonia di premiazione si è tenuta al Dolby Theatre di Los Angelese domenica 28 febbraio e quello ricevuto da Morricone è il suo primo Oscar. Morricone ha 87 anni ed è la persona più anziana ad aver vinto un Oscar per la Miglior colonna sonora: era il favorito dopo aver vinto quest’anno anche il Golden Globe e il premio BAFTA. Gli altri candidati per lo stesso premio erano John Williams per Star Wars: il risveglio della Forza, Thomas Neuman per la colonna sonora de Il ponte delle spie, Jóhann Jóhannsson per Sicario e Carter Burwell per Carol. Al momento della premiazione, tutto il pubblico del Dolby Theatre si è alzato in piedi ad applaudire Morricone, che ha ricevuto l’Oscar dal produttore e compositore statunitense Quincy Jones
Grand intellectuel italien, l’écrivain Umberto Eco, décédé dans la nuit de vendredi à samedi à l’âge de 84 ans, était un universitaire, linguiste et philosophe qui a connu la gloire mondiale avec un thriller médiéval et érudit, Le Nom de la rose .
Ce philosophe de formation, célébré sur le tard alors qu’il approchait de la cinquantaine, a réussi un coup de maître avec son premier roman publié en 1980, Le Nom de la rose s’est vendu à plusieurs millions d’exemplaires et a été traduit en 43 langues. Il a été adapté au cinéma en 1986 par le Français Jean-Jacques Annaud avec Sean Connery dans le rôle du frère Guillaume de Baskerville, l’ex-inquisiteur chargé d’enquêter sur la mort suspecte d’un moine dans une abbaye du nord de l’Italie. Truffé de latin, le polar de ce sémiologue de renom à la rondeur affable a même été la cible d’éditions pirates, notamment en arabe sous le titre Sexe au couvent… Autre conséquence, non négligeable pour l’édition italienne, « Le Nom de la rose a relancé le roman en Italie et la littérature italienne à l’étranger. Les écrivains italiens ont à nouveau été traduits », souligne le critique et romancier italien Alain Elkann.
Après Le Nom de la rose, il a notamment offert à ses lecteurs Le Pendule de Foucault (1988), L’Île du jour d’avant (1994) et La Mystérieuse Flamme de la reine Loana (2004).
Son dernier roman, Numéro zéro, publié en 2014 est un polar contemporain centré sur le monde de la presse. Il est aussi l’auteur de dizaines d’essais sur des sujets aussi éclectiques que l’esthétique médiévale, la poétique de Joyce, la mémoire végétale, James Bond, l’art du faux, l’histoire de la beauté ou celle de la laideur.
« Le beau se situe à l’intérieur de certaines limites tandis que le laid est infini, donc plus complexe, plus varié, plus amusant », expliquait-il dans une interview en 2007, ajoutant qu’il avait « toujours eu de l’affection pour les monstres ». Affirmant « écrire pour s’amuser », Il Professore – des yeux malicieux derrière des lunettes et une barbe blanche – était aussi bibliophile et possédait plus de 30 000 titres dont des éditions rares. « Eco était un premier de la classe, très intelligent, très érudit. Il a incarné avec brio la figure de l’intellectuel européen. Il était aussi à l’aise à Paris et Berlin qu’à New York ou Rio », estime Alain Elkann.
Citations emblématiques de Umberto Eco:
- “Les faiblesses des méchants sont les mêmes que celles des saints.”
- “Laisse parler ton coeur, interroge les visages, n’écoute pas les langues…”
- “Si Dieu existait, il serait une bibliothèque.”
- “La télévision rend intelligent les gens qui n’ont pas accès à la culture et abrutit ceux qui se croient cultivés.”
- “La science ne consiste pas seulement à savoir ce qu’on doit ou peut faire, mais aussi à savoir ce qu’on pourrait faire quand bien même on ne doit pas le faire.”
- “Les thèmes de la tragédie sont universels, alors que ceux de la comédie sont plus ancrés dans les cultures.”
- “Il y a quatre types idéals : le crétin, l’imbécile, le stupide et le fou. Le normal, c’est le mélange équilibré des quatre.”
Aveva 84 anni. E’ stato filosofo, semiologo e grande esperto della comunicazione. Non ha mai perso la voglia di osservare la politica. Aveva appena lanciato una nuova casa editrice « La Nave di Teseo », dopo aver rifiutato di restare in quella che lui chiamò « La Mondazzoli », la fusione Mondadori-Rcs. E’ stato anche storico collaboratore di Repubblica e de l’Espresso
Il mondo perde uno dei suoi più importanti uomini di cultura contemporanei e a tutti noi mancherà il suo sguardo sul mondo. Aveva 84 anni, è stato scrittore, filosofo, grande osservatore ed esperto di comunicazione e media. La conferma della scomparsa dell’autore de « Il nome della Rosa » e de « Il pendolo di Foucault » è stata data dalla famiglia a Repubblica.
La morte è avvenuta alle 22.30 di ieri sera nella sua abitazione.
Fabrizio De André est un auteur-compositeur-interprète italien, né à Gênes le 18 février 1940 et mort à Milan le 11 janvier 1999.
La plupart des textes de ses chansons racontent les histoires d’exclus, de rebelles et de prostituées, et elles ont été considérées par la plus grande partie des critiques comme d’authentiques poésies, et incluses dans les anthologies scolaires de littérature italienne1.
è morto a 93 anni ad Ascona, nel Canton Ticino. La sua caricatura sulla caffettiera.
Addio ai baffi più famosi del caffè italiano: quelli di Renato Bialetti, l’uomo che ha reso famosa la moka made in Italy. L’imprenditore della nota marca di casalinghi di Omegna (nel Verbano) si è spento nella notte a 93 anni nella sua casa di Ascona, in Canton Ticino, in Svizzera. Icona del made in Italy, aveva creato un vero e proprio impero negli anni del Dopoguerra grazie anche ad un nuovo tipo di marketing che univa alla qualità del prodotto anche l’immagine dell’imprenditore: i suoi sono stati i baffi più famosi d’Italia, entrati nelle case di grandi e piccini anche grazie al Carosello. Era proprio la sua la caricatura nell’omino coi baffi, colui che ha reso famosa in tutto il mondo la moka. L’idea era stata del fumettista Paul Campani, ispirata proprio al viso di Renato Bialetti. Divenne un tormentone anche quello slogan «Eh sì sì sì… sembra facile! (fare un buon caffè)!».
http://torino.repubblica.it/…/ex_proprietario_dell_omonima…/
A bientôt pour de prochaines soirées spéciales cinéma italien à l’ABC en attendant notre prochain festival :
Du vendredi 2 au dimanche 11 décembre 2016.
A vos agendas !
Un nouveau deuil frappe le monde des arts. Le cinéma qui perd l’un de ses plus célèbres réalisateurs. Cliquez sur l’Onglet « CULTURE », puis VIDEO, pour visionner quelques extraits de ses films les plus connus.
Le cinéma italien perd l’un de ses noms les plus emblématiques. Le réalisateur, scénariste et dessinateur Ettore Scola est mort, rapporte la presse italienne, mardi 19 janvier, citant des sources hospitalières. Agé de 84 ans, il s’est éteint dans un hôpital de Rome.
Né en 1931, il passait pour un des derniers grands maîtres du cinéma italien, réalisateur de chefs-d’œuvre mettant en scène Marcello Mastroianni, Sophia Loren, Vittorio Gassman ou Nino Manfredi. Il avait notamment signé Nous nous sommes tant aimés (1974), Une journée particulière (1977) ou encore La Famille (1987).
En quarante ans de carrière, le réalisateur a mis en scène près d’une quarantaine de films. Son style est reconnu pour son audace et sa singularité.
Il mêle acuité de l’analyse psychologique, caricature féroce des sociétés modernes, ironie, farce, désenchantement, mélancolie et recherches narratives et formelles inédites. Primé à plusieurs reprises aux Césars comme à Cannes ou encore à la cérémonie des Rubans d’argent, le cinéaste laisse derrière lui de grands chefs d’œuvre du septième art.
Retour sur dix de ses longs métrages, qui ont marqué l’histoire du septième art:
- Parlons de femmes (1964)
Se permettete parliamo di donne, réalisé en 1964, est le premier long-métrage d’Ettore Scola, qui avait jusque-là signé que des scénarios, notamment pour Dino Risi. La mode était alors celle du film à sketches. De nombreux cinéastes italiens avaient œuvré dans ce genre, et pas des moindres, puisque Fellini, Visconti, De Sica et Monicelli s’étaient associés deux ans plus tôt pour le très célèbre film Boccace 70.
Ici, Ettore Scola est seul aux commandes. Il dirige l’acteur Vittorio Gassman, qui interprète le personnage central dans les neufs sketchs. Intitulé originalement Se permettete parliamo di donne, le film met en lumière les difficultés des relations entre hommes et femmes.
- Nous nous sommes tant aimés (1974)
L’histoire se déroule en 1944. Gianni, Nicola et Antonio se lient d’amitié alors qu’ils ont pris le maquis pour combattre les Allemands. Lorsque sonne l’heure de la libération, un monde nouveau s’offre à eux. Militants fervents, pleins de rêves et d’illusions, les voici prêts à faire la révolution.
Alors que tous trois, à des périodes différentes, vont avoir une aventure avec Luciana, aspirante actrice, la vie les sépare après la chute du régime fasciste et l’avènement de la République. Gianni, avocat en quête de clients, épouse Elide, la fille d’un grossier parvenu, puis se retrouve veuf. Nicola, qui se vouait à être critique de cinéma, devient enseignant en province où il abandonne sa famille pour Rome. Antonio restera brancardier dans un hôpital romain mais lui finira par épouser Luciana.
Par hasard, tous trois se rencontrent mais la communication entre eux est devenue bien différente de celle de leur jeunesse: «Nous voulions changer le monde, mais le monde nous a changés!», déclare l’un des protagonistes…Le film est explicitement dédié au réalisateur italien Vittorio De Sica, décédé d’un cancer du poumon le 13 novembre 1974.
- Affreux, sales et méchants (1976)
Lors de la 29e édition du Festival de Cannes, le long-métrage remporta le Prix de la mise en scène en 1976. Le film fut presque entièrement tourné à Rome, dans le quartier de Monte Ciocci, d’où l’on aperçoit la coupole de la basilique Saint-Pierre. Cette zone fut véritablement occupée, jusqu’en 1977, par des taudis habités par des chômeurs et par des ouvriers travaillant dans les chantiers des quartiers voisins. Dans un premier temps, Ettore Scola comptait faire un documentaire sur ce sujet. Il décida plutôt d’aborder le sujet sous forme d’une comédie de fiction.
Le film raconte la vie quotidienne d’une famille du quart-monde, originaire des Pouilles, dans un bidonville de Rome au début des années 1970. Une vingtaine de personnes — parents, enfants, leurs conjoints ou amants, petits-enfants, et la grand-mère — s’entassent dans un sordide taudis, vivant de larcins et de prostitution, sous l’autorité tyrannique du patriarche borgne, Giacinto Mazzatella (Nino Manfredi), avare et brutal.
Celui-ci possède une liasse d’un million de lires, reçues en indemnité pour avoir perdu l’usage d’un œil. Il est obsédé par la crainte qu’un de ses proches puisse lui dérober le magot. Il s’entiche d’une prostituée obèse, commence à dépenser son argent avec elle, l’invite même à venir habiter chez lui, ce qui attise la colère de son épouse. Celle-ci, pour laver l’affront, organise avec toute la famille l’assassinat du mari et père indigne.
- Une journée particulière (1977)
Sorti en 1977, Una giornata particolare se déroule en pleine période fasciste italienne, où on assiste à la rencontre de deux êtres que tout semble séparer: Antonnietta, incarnée à l’écran par Sophia Loren et Gabriele, joué par Marcello Mastroianni.
À Rome, le 8 mai 1938, Hitler rencontre Mussolini. Tous les Romains ont déserté leurs habitations pour aller assister à la cérémonie. Dans un grand immeuble, Antonietta, en bonne mère de famille nombreuse (conformément à l’endoctrinement mussolinien: un mari tout ce qu’il y a de plus machiste et six enfants), est contrainte de rester à la maison pour s’occuper des tâches ménagères alors qu’elle serait bien allée voir le Duce comme tout le monde.
Le hasard va la mettre en contact avec un homme esseulé qu’elle a aperçu dans un appartement de l’autre côté de la cour. Il s’agit de Gabriele, un intellectuel homosexuel qui, pour cette raison, a été exclu de la radio nationale où il était présentateur et est menacé de déportation.
- La Terrasse (1980)
Ettore Scola s’entoure pour réaliser ce film d’acteurs de renoms tels que Jean-Louis Trintignant, Marcello Mastroianni ou encore Serge Reggiani. Ils incarnent des amis de longue date, appartenant au milieu de la gauche culturelle, qui se retrouvent pour une rituelle soirée-buffet sur la vaste terrasse romaine de l’un d’entre eux. La caméra se promène et surprend des conversations puis, suit un personnage dans sa vie, avant de revenir à la soirée et d’en suivre un autre. L’enthousiasme de la jeunesse a laissé place à l’amertume et aux constats d’échecs, autant professionnels que sentimentaux.
Le long-métrage suit successivement Enrico, scénariste à court d’inspiration, Luigi, journaliste que sa femme quitte, Sergio, un fonctionnaire de la RAI, la télévision publique, anorexique et déprimé, Amedeo, producteur de cinéma, et Mario, député communiste qui va avoir une liaison.
- Passion d’amour (1981)
Présenté au 34e Festival de Cannes, en 1981, le long-métrage est adapté de Fosca, le plus célèbre roman d’Iginio Ugo Tarchetti, paru sous la forme d’un feuilleton dans la revue Il pungolo en 1869, puis publié dans un volume la même année.
Il est l’un des romans les plus représentatifs de Scapigliatura, ce mouvement littéraire contestataire du nord de l’Italie autour des années 1860. Le film, fidèle au livre dans l’ensemble, en modifie la fin, dont il accentue l’effet dramatique. Plus encore qu’une réflexion sur la beauté et l’amour, livre et film décortiquent le mécanisme de la passion. Bernard Giraudeau et Laura Antonelli jouent les rôles principaux.
- La Nuit de Varennes (1982)
Le film est inspiré du roman de Catherine Rihoit, La Nuit de Varennes ou l’Impossible n’est pas français. Il raconte la fuite et l’arrestation à Varennes du roi Louis XVI et de sa femme, Marie-Antoinette. À Paris, en juin 1791, l’écrivain libertin Restif de La Bretonne (joué par Jean-Louis Barrault) est le témoin du départ, en pleine nuit et depuis le Palais Royal, d’un mystérieux carrosse.
Intrigué, l’écrivain se lance à sa poursuite en compagnie de Giacomo Casanova. Il découvre bientôt que ce carrosse tente d’en rejoindre un autre parti plus tôt et dont les occupants ne sont rien de moins que les membres de la famille royale…
- Le Bal (1983)
Le film remporte en 1884 de nombreuses récompenses: César du Meilleur film, César du Meilleur réalisateur mais aussi César de la Meilleure musique de film pour la bande-son signée Vladimir Cosma.
L’histoire se déroule dans une salle de bal où redéfile toute l’histoire de la France: des années 20 aux années 80. Au gré des musiques qui ont rythmé ces décennies comme le jazz, le rock’n’roll ou encore le disco, le Front Populaire, la Seconde Guerre mondiale, la Libération et Mai 68 sont ainsi évoqués.
- Le Dîner (1998)
Ettore Scola met à l’honneur l’actrice française Fanny Ardant dans La Cena. Elle y campe le rôle de Flora, propriétaire d’un restaurant chic, situe au cœur d’une grande ville, qui pourrait être Rome. Cette dernière aime secrètement un intellectuel et est aimée tout aussi secrètement par un de ses serveurs. Elle reçoit, ce soir-la, une quarantaine de clients de milieux et d’intérêts divers qui chacun à sa table raconte une histoire.
- Concurrence déloyale (2001)
L’une des dernière réalisations d’Ettore Scola. Concurrence déloyale, sorti en 2001, se déroule à Rome, dans les années 30. Il raconte l’histoire d’Umberto et de Leone, deux commerçants en confection dont les boutiques et les appartements sont voisins. Ils se livrent à une concurrence sans merci et se détestent ouvertement. Pourtant leurs deux fils sont amis, et la fille de Leone et l’aîné d’Umberto sont amoureux l’un de l’autre. Pendant ce temps, les fascistes sont au pouvoir.
Soucieux avant tout du bon fonctionnement de son commerce, Umberto collabore mollement avec le régime, malgré les reproches de son frère, Angelo, un professeur de collège. Un jour, une nouvelle dispute entre Umberto et Leone tourne à la bagarre. Ils sont emmenés au commissariat. Là, on suggère à Umberto de jouer sur le fait que Leone est juif pour lui attirer des ennuis. Umberto refuse…
E’ morto Ettore Scola, l’ultimo grande maestro della commedia italiana. Aveva 84 anni. Il grande regista si è spento del reparto di cardiochirurgia del Policlinico di Roma.
Con il suo cinema ha raccontato l’Italia che si riscattava dal fascismo e cercava di dimenticare la guerra, con un linguaggio profondo ma lieve ha saputo tratteggiare tutti i tipi di italiani, dagli intellettuali di sinistra ai commercianti che si fanno concorrenza. Protagonista, prima come sceneggiatore e poi da regista, di alcune delle più belle pagine del cinema italiano, Ettore Scola era nato a Trevico (Avellino) il 10 maggio 1931.
La sua carriera era iniziata nel campo del giornalismo con la collaborazione alla rivista umoristica Marc’Aurelio e con quelli che poi lui chiamerà « scarabocchi, cui si era dedicato fin da giovane, contemporaneamente al corso di Giurisprudenza a Roma. Poi dalla metà degli anni ’50 cominciò a scrivere sceneggiature collaborando con Age e Scarpelli, per film come Un americano a Roma (1954), La grande Guerra (1959) e Crimen (1960). L’esordio alla regia è nel 1964 con il film Se permette parliamo di donne con Vittorio Gassman, che insieme a Nino Manfredi e Marcello Mastroianni, sarà uno degli attori preferiti da Scola.
Con Il commissario Pepe (1969) e Dramma della gelosia – Tutti i particolari in cronaca(1970) Scola entra nel decennio più importante della sua carriera. Nel 1974 dirige C’eravamo tanto amati, film che ripercorre un trentennio di storia italiana dal 1945 al 1975 attraverso le vicende di tre amici interpretati da Vittorio Gassman, Nino Manfredi e Stefano Satta Flores, tutti innamorati di Luciana (Stefania Sandrelli). Il film è un capolavoro che lo consacra definitivamente tra i grandi del cinema italiano regalandogli anche la fama internazionale. Seguono altri titoli imprescindibili quali Brutti, sporchi e cattivi (1976), con cui vinse il premio per la regia a Cannes, e Una giornata particolare (1977) con Sophia Loren e Marcello Mastroianni, forse la pellicola di Scola più acclamata anche all’estero. Nel 1980 il regista gira La terrazza, amaro bilancio di un gruppo di intellettuali di sinistra in crisi. Emblema degli anni ’80 di Scola è il film La famiglia (1987), commedia che ripercorre 80 anni di storia (1906-1986) con Vittorio Gassman, Stefania Sandrelli e Fanny Ardant.
Con il film Concorrenza sleale, ambientato durante il Fascismo, e il documentario dedicato a Roma, Ettore Scola aveva detto di aver concluso la sua attivià di regista. In realtà poi negli ultimi anni aveva realizzato due documentari, uno deidicato a Roma,Gente di Roma, e un altro sul suo grande amico con il quale aveva lavorato fin dai tempi del Marc’Aurelio, Che strano chiamarsi Federico.
Ettore Scola era sposato con la sceneggiatrice e regista Gigliola Scola. Insieme alle sue due figlie Paola e Silvia aveva presentato a novembre alla Festa di Roma il documentario che raccontava la sua vita e la sua carriera, Ridendo e scherzando. In quell’occasione aveva detto: « Il cinema è un lavoro duro ma si può ridendo e scherzando mandare qualche messaggetto, qualche cartolina postale con le proprie osservazione sul mondo. Il cinema è come un faretto che illumina le cose della vita ».
Retrouvez la « diva assoluta » le samedi 14 novembre à 20h à la Halle aux Grains de Toulouse.
Il est fortement conseillé de réserver :grandsinterpretes.com
Cecilia Bartoli, la tsarine absolue, bienfaitrice du chant baroque
La diva assoluta nous revient, et le moins qu’on puisse dire, c’est en très grande forme. Ceux qui connaissent déjà le contenu du récital qui fait référence en partie au dernier CD sorti vous diront que c’est même de la très grande forme, avec toujours, pureté dans la ligne et absence de dureté dans l’extrême aigu, ce qui a pu inquiéter un moment. Captivante de bout en bout, le timbre est toujours aussi accrocheur, le sens des nuances aussi exceptionnel – beaucoup imitée, jamais égalée -, les vocalises émises un peu moins dans le style Kalachnikov AK-12, et, cerise sur le gâteau, un attachement permanent, quasi viscéral à ce que l’on peut appeler le bien dire, une denrée rare, et même absente chez certains chanteur(e)s pourtant réputés. – See more at: http://www.grandsinterpretes.com/cecilia-bartoli-tsarine-absolue-bienfaitrice-du-chant-baroque/#sthash.hr7YxDS0.dpuf