Juil 012014
 

sous la direction de Jean Gili Volume 1: du néoréalisme à l’Italie des conflits

Cette ouvrage é encore à disposition à l’Association L’Italie à Toulouse »!
Nouveau hors-série de RADICI, un livre consacrée au cinéma italien

ÉDITALIE éditions. Volume 1 / 387 pages / 35 € / Parution février 2014
POINT DE VENTE aussi à l’Association « L’Italie à Toulouse »

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Un ouvrage de référence sur le cinéma italien, avec comme grande originalité, les interviews de ceux qui ont fait ce cinéma, questionnés par des journalistes écrivains, essayistes, reporters. Ce livre n’est donc pas une nième histoire du cinéma italien, mais le cinéma et la société italienne vus et ressentis par les cinéastes.
L’iconographie particulièrment riche est, elle-aussi, originale, avec ses nombreux clichés de tournage et ses nombresux portraits.

« Le cinéma italien est sans doute celui qui a le mieux témoigné d’un peuple et qui en a exprimé les affirmations exemplaires – que l’on pense au néoréalisme –, les déchirements, les souffrances et les raisons de croire en l’avenir ».

C’est par ces mots que Jean A. Gili, introduit un livre sur le cinéma italien. Si le thème a été, et continue d’être encore largement étudié, il fait cette fois l’objet d’un traitement original, au travers d’une publication en deux volumes : un important recueil d’interviews, inédites en langue française, de celles et ceux qui ont fait le cinéma italien de l’après-guerre jusqu’à nos jours. Des entretiens menés, et c’est l’un des principaux intérêts du livre, par des journalistes qui ne sont pas uniquement des spécialistes du cinéma italien, mais de véritable « plumes », reporters, écrivains, essayistes, qui ont marqué les grandes pages du journalisme italien et international de la période : Oriana Fallaci, Alberto Moravia, Oreste Del Buono, Claudio Carabba ou encore Lietta Tornabuoni.

Il ne s’agit donc pas à proprement parler d’une « histoire du cinéma italien », ni même d’un essai critique, mais bien d’un parcours personnel et intime, au cœur des consciences, des « à-côtés », de ces grands noms du Septième art. Un recueil qui reflète – dans les réponses comme dans les questions posées – les grandes problématiques qui ont traversé la société et le cinéma transalpins. Un parcours qui fait aussi la part belle à l’iconographie, grâce à de nombreux portraits et images des tournages.

Ce premier livre aborde :

  • « Le néoréalisme » avec, entre autres, Roberto Rossellini, Giuseppe De Santis, Luchino Visconti, ou encore Totò et Anna Magnani.
  • « L’Italie du boom », autour de Federico Fellini et Marcello Mastroianni, Giulietta Masina et Claudia Cardinale ou Sophia Loren, la comédie avec Dino Risi et Mario Monicelli et les débuts du cinéma politique porté par Francesco Rosi.
  • « L’Italie des conflits » et un acteur emblématique, Gian Maria Volonté, mais aussi des réalisateurs comme Pier Paolo Pasolini, Marco Ferreri et Elio Petri, Michelangelo Antonioni ou encore le jeune Marco Bellocchio.

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