Séance sur: « Le théâtre Italien ».
Deux heures de culture et d’apprentissage de l’italien autour de sujets originaux.
ACTIVITE RESERVEE AUX ELEVES DE L’ASSOCIATION
Séance sur: « Le théâtre Italien ».
Deux heures de culture et d’apprentissage de l’italien autour de sujets originaux.
ACTIVITE RESERVEE AUX ELEVES DE L’ASSOCIATION
Lecture de textes LITTERAIRES en italien. Activité réservée aux adhérents de l’Association.
Le texte du CLUB DE LECTURE de vendredi 27 Février, de 15h à 16h30 c’est une des Nouvelles de
Dino Buzzati «Lettera d’amore»
Les personnes intéressées et qui en feront demande auront par mail l’extrait
à lire en entier.
Entrée libre
Réservation : obligatoire
Dino Buzzati Traverso, connu sous le nom de Dino Buzzati, né le 16 octobre 1906 à San Pellegrino di Belluno en Vénétie, mort le 28 janvier 1972 à Milan, est un journaliste (au Corriere della Sera), peintre et un écrivain italien dont l’œuvre la plus célèbre est le roman intitulé Le Désert des Tartares.
De son métier de journaliste lui vient l’habitude de chercher des thèmes et des récits de la vie quotidienne et d’en faire ressortir l’aspect insolite, parfois fantastique.
Le jeudi 5 février 2015, à 18h /Auditorium de la Mairie de Blagnac.
Conférence animée par Bernadette DE PASCALE – DALMAS, conférencière Italienne, à l’occasion de l’exposition au musée Saint Raymond sur :
«L’empire de la couleur, de Pompéi aux sud des Gaules». Entrée libre.
La ville de Pompéi, située près de Naples, a été ensevelie par une éruption du Vésuve, en 79 après J.-C. Dans ses maisons les peintures murales, préservées par une couverture de boue et de cendres, sont parvenues presque intactes et paraissent toujours aussi vivantes. La plupart de ces merveilleuses fresques présentent des paysages ou des sujets mythologiques, elles ont permis de mieux comprendre la vie quotidienne des habitants de Pompéi.
AMICALE FRANCO – ITALIENNE 05 61 59 51 63
Le vendredi 6 février 2015 de 18H00 à 19H00: Débat avec Rocco Femia, Pierre Cadars et Marc Lazar à l’occasion de la parution des livres : «Les lieux de Verdi» et «Résistance Italienne» Editions EditalieOrganisé en liaison avec le Colloque Ritals – histoires d’une émigration, le 7-8 février 2015.
Rocco Femia est éditeur et journaliste, fondateur de la maison d’éditions EDITALIE et directeur du magazine bilingue franco-italien RADICI. Il est l’auteur de plusieurs publications : À cœur ouvert (Nouvelle Cité, 1994), Au cœur des racines et des hommes (2007), Italiens 150 ans d’émigration en France et ailleurs (2011).
Il collabore également de façon régulière avec les plus importants journaux italiens et français.
Marc Lazar est professeur à l’Institut d’études politiques de Paris ainsi qu’à la Luiss de Rome. Spécialiste reconnu de l’Italie et de la gauche ouest-européenne, il a publié de nombreux ouvrages sur le communisme occidental et sur l’Italie contemporaine.
Pierre Cadars, spécialiste de cinéma et de musique, ancien directeur de la Cinémathèque de Toulouse, publie régulièrement dans la revue Radici.
« Les lieux de Verdi »: Au fil des pages de cet ouvrage consacré à Giuseppe Verdi (1813-1901), vous pourrez découvrir l’itinéraire parcouru par le grand compositeur italien tout au long de sa vie. Une véritable invitation au voyage, de l’Émilie-Romagne natale aux grands théâtres italiens où il s’est rendu célèbre, en passant par l’Opéra de Paris, l’Angleterre et l’Égypte. Vous irez à la rencontre de l’homme qui passa par des déceptions, des échecs et des deuils, avant de devenir le musicien emblématique d’une Italie unie. Ce livre n’est ni tout à fait un ouvrage d’histoire, ni tout à fait un guide touristique, mais un mélange des deux. Il s’agit d’un livre sur les lieux de Verdi, qui propose un va-et-vient incessant entre passé et présent, grâce aux nombreuses informations concernant les possibilités touristiques qu’offrent aujourd’hui ces lieux, qu’ils soient célèbres ou plus intimistes, et que vous pourrez visiter vous-même.
« Résistance Italienne »: Turin, Milan, Venise, Trieste, Bologne ou Gênes, mais aussi les sentiers sinueux des Alpes piémontaises, les villages perdus de la Carnia, les carrières de marbre de Toscane ; les fermes abandonnées autrefois bases partisanes, les usines en friche sièges des premières grèves ouvrières, les immeubles de périphérie théâtres de réunions clandestines ou sinistres salles de torture. Nous voici sur les lieux de la Résistance en Italie du Nord, sur les traces des partisans, célèbres ou anonymes, qui se sont opposés à l’occupation allemande après la signature de l’armistice par le gouvernement Badoglio en 1943.
Rencontre avec Antonio Moresco le mardi 3 février 2015 de 18H00 à 20H00 autour de son ouvrage: » La petite lumière », paru aux éditions Verdier. / Librairie Ombres Blanches.
Antonio Moresco est né à Mantoue en 1947. Figure majeure de la prose narrative contemporaine, il est sans aucun doute l’un des écrivains les plus inspirés et les plus délicats de la littérature italienne. Depuis les années 90, il a publié de nombreux romans, nouvelles, pièces de théâtre et essais notamment aux éditions milanaises Mondadori.
« Je suis venu ici pour disparaître, dans ce hameau abandonné et désert dont je suis le seul habitant. Le soleil vient tout juste de s’effacer derrière la ligne de crête. La lumière s’éteint. En ce moment, je suis assis à quelques mètres de ma petite maison, face à un abrupt végétal. Je regarde le monde sur le point d’être englouti par l’obscurité. »
On ne saura pas avec précision ce que fuit le narrateur de La Petite Lumière, sans doute le monde urbain contemporain, son désordre, ses dissonances, sans doute aussi une lassitude, un désarroi plus intime et plus secret.
Quand s’ouvre le roman, il est déjà là, solitaire et attentif, immergé dans ce paysage de montagnes et de forêts dont la nuit, en tombant, estompe peu à peu les contours. Anachorète sans foi et sans espérance, désorienté, chavirant ou presque alors que ce drap d’ombre s’abat sur lui et sur l’espace alentour, «… j’ai le souffle coupé, comme si je chutais assis sur une balançoire aux cordes fixées en quelque endroit infiniment lointain de l’univers ». Un pied dans le roman, un autre dans la fable, grave et circonspect tandis qu’il se tient dans cette posture d’équilibriste, ainsi apparaît Antonio Moresco, dont La Petite Lumière est le premier livre traduit d’une bibliographie nombreuse que ce mince récit, s’il a valeur d’exemple, permet d’imaginer tout ensemble méditative et d’une impressionnante vigueur.
Le trait de Moresco est net, sûr, méticuleux, tandis qu’il déploie son intrigue : un homme plongé dans une nature qui s’avère aussi chaotique, effrénée, oppressante que la ville et la foule qu’il a quittées ; une solitude peuplée par l’omniprésence du monde animal qui grouille dans le ciel et dans les sous-bois ; une paix et un silence incessamment rompus par les secousses sismiques qui font trembler la terre, la conversation des hirondelles, le fourmillement des insectes, les lucioles et les petits rapaces qui pullulent dans les feuillages, la lutte acharnée que se livrent entre eux les végétaux pour l’occupation de l’espace et, dans le sol épais, le processus invisible et inlassable d’altération, de décomposition et de renaissance d’où procède la vie. […] Antonio Moresco ne donne pas de réponse. Il se contente d’offrir à la lecture ce roman métaphysique d’une saisissante beauté, cette élégie sensuelle et inquiète, comme une fable irriguée, en ses profondeurs intouchables, par une méditation sur la place de l’homme dans l’univers. » Nathalie Crom, Télérama
Le 31 Janvier, l’Italie a un nouveau président: Sergio Mattarella ! Dodicesimo Presidente della Repubblica Italiana.
L’écrivain Leonardo Sciascia, un proche de la famille le décrivait comme «tenace, inflexible, capable de supporter d’énormes quantités de douleur et de sacrifices»!
Samedi 31 Janvier, 12.59, Sergio Mattarella è il dodicesimo Presidente della Repubblica Italiana.
«Le temps d’une pause». Deuxième rendez-vous, le Vendredi 13 février au café littéraire de Muret
Vendredi 13 janvier au café littéraire « Le temps d’une pause » (Muret) Americo Piaggesi (guitare et chant), Giovanni Canzanella (piano et chant) et Hélène Della Bianca (lectures) rendent hommage à la musique de Fabrizio De André.
Un concert-lecture avec les chansons le plus célèbres du chanteur qui a changé l’histoire de la musique italienne.
Vendredi 17 février à 20h30
Café littéraire « Le temps d’une pause »
7, place Mercadieu – Muret
Entrée 6€
Lecture de textes LITTERAIRES en italien.
Activité réservée aux adhérents de l’Association.
Le texte du CLUB DE LECTURE de vendredi 12 Décembre, de 15h à 16h30 c’est un extrait du livre « Non esiste saggezza », de Gianrico Carofiglio.
Suit un petit extrait du compte en français et en italien.
Les personnes intéressées et qui en feront demande auront par mail l’extrait à lire en entier.
Réservation : obligatoire
Gianrico Carofiglio (Bari 1961)
Non esiste saggezza è un libro di Gianrico Carofiglio edito da Rizzoli nel 2010. Un ensemble de récits qui partent de la vie quotidienne, de visages croisés, et qui entraînent le lecteur dans un voyage jusqu’au bout des émotions les plus profondes.
Les récits de « Non esiste saggezza » ont pour décor la réalité quotidienne : ils racontent des visages qui émergent de la foule des voyageurs dans des zones de transit neutres. Surtout des visages de femmes : avec ces dernières, la voix du narrateur se fait bienveillante, fraternelle et protectrice, comme s’il voulait partager le poids de secrets douloureux. Dans ce livre Carofiglio dote d’un nom les ombres et les peurs. Il en fait des compagnons de voyage, d’un voyage qui va jusqu’aux confins des émotions les plus profondes et les plus sincères.
In questo breve romanzo, scritto qualche anno fa in occasione del festival di Massenzio, Gianrico Carofiglio narra dell’incontro che avviene nell’aereoporto di Amsterdam tra un inusuale poliziotto e una ragazza in fuga con un segreto da nascondere; ad attirare l’attenzione di lui sulla bella sconosciuta sarà un libro che lei tiene in grembo e che lui riconosce come un testo di Anna Achmatova che leggeva sua madre tanti anni prima, di cui ricorda ancora un verso: « la saggezza non esiste, non esiste vecchiezza, e forse nemmeno la morte ».
Una storia sull’incontrarsi per poi perdersi subito dopo, ma realmente sul non perdersi mai.
I racconti di « Non esiste saggezza » provengono dai luoghi della realtà quotidiana: sono volti che emergono dalla folla dei viaggiatori, in zone neutrali di transito. Soprattutto, figure di donne: con esse, la voce del narratore è partecipe, solidale, protettiva, come a voler condividere il peso di un segreto in varie forme doloroso, a volerle affrancare da un destino ostile. Appaiono improvvisamente: a un casello autostradale, la bambina solitaria chiede a un automobilista ignaro di accompagnarla verso il mistero. L’attesa notturna in un aeroporto è colmata dai versi di una poetessa russa, dalla sosta sfuggente di una sconosciuta. E, improvvisamente, queste donne scompaiono: dall’ambulatorio di una missione umanitaria, ultimo posto in cui sono state viste una dottoressa volontaria e la ragazza colombiana sua compagna, nella rischiosa sfida a ingiustizie e prevaricazioni. I personaggi maschili si trovano a cercare, a inseguire: un’impressione, un sospetto, una curiosità che li spinge oltre i limiti del prevedibile, talvolta del lecito. E la raccolta si completa con un vero e proprio romanzo di formazione in miniatura, ambientato negli spazi metafisici della Murgia.
« Le cose non esistono se non abbiamo le parole per chiamarle. »
«J’ai plus souffert pour ma famille et pour ceux qui me sont chers que pour moi-même, mais je suis tellement convaincu d’être dans le juste que si vous aviez le pouvoir de me tuer deux fois et si par deux fois je pouvais renaître, je vivrais de nouveau pour faire exactement ce que j’ai fait jusqu’à présent. »
Bartolomeo Vanzetti