Mar 162015
 

http://parliamoitaliano.altervista.org/giornali-italiani-online/

Speranza-Pio-Pullini1


– Corriere della Sera (quotidiano della borghesia, di Milano, è uno dei due principali organi di informazione)

– La Repubblica (quotidiano di centrosinistra, di Roma, è uno dei due principali organi di informazione)

– Il Sole 24 Ore (principale quotidiano economico-finanziario)

– Il Messaggero (principale quotidiano di Roma)

– La Stampa (quotidiano della Fiat, di Torino)

– Il Mattino (principale quotidiano di Napoli)

– Il Gazzettino (principale quotidiano di Venezia)

– Avvenire (quotidiano cattolico, della Conferenza Episcopale Italiana)

– Il Giornale (quotidiano di destra, di Milano)

– Il Tempo (quotidiano di centrodestra, di Roma)

– Libero (quotidiano di destra, di Milano)

– L’Unità (quotidiano del Partito Democratico, di sinistra)

– Europa (quotidiano del Partito Democratico, di centrosinistra)

– Il Riformista (quotidiano d’opinione di centrosinistra)

– Il Foglio (quotidiano d’opinione di centrodestra)

– Il Fatto Quotidiano (quotidiano d’opinione di sinistra)

– Il Manifesto (quotidiano comunista)

– Liberazione (quotidiano del Partito della Rifondazione Comunista)

– La Padania (quotidiano della Lega Nord)

– La Gazzetta dello Sport (principale quotidiano sportivo)

– Ansa (principale agenzia di stampa italiana)

– Adnkronos (agenzia di stampa)

– Rai News 24 (sito del canale all-news della Rai)

– Asianews (agenzia del Pontificio Istituto Missioni Estere)

– Peace Reporter (agenzia di stampa su temi internazionali)

– La Voce (sito di analisi economica, gestito da professori universitari)

– Vita (giornale del non profit)

– Gambero Rosso (sito di cultura gastronomica)

– Dagospia (sito satirico di pettegolezzi e politica)

 

Fév 052015
 

Le vendredi 6 février 2015 de 18H00 à 19H00: Débat avec Rocco Femia, Pierre Cadars et Marc Lazar à l’occasion de la parution des livres : «Les lieux de Verdi» et «Résistance Italienne» Editions EditalieOrganisé en liaison avec le Colloque Ritals – histoires d’une émigration, le 7-8 février 2015.

Rocco Femia est éditeur et journaliste, fondateur de la maison d’éditions EDITALIE et directeur du magazine bilingue franco-italien RADICI. Il est l’auteur de plusieurs publications : À cœur ouvert (Nouvelle Cité, 1994), Au cœur des racines et des hommes (2007), Italiens 150 ans d’émigration en France et ailleurs (2011).
Il collabore également de façon régulière avec les plus importants journaux italiens et français.

Marc Lazar est professeur à l’Institut d’études politiques de Paris ainsi qu’à la Luiss de Rome. Spécialiste reconnu de l’Italie et de la gauche ouest-européenne, il a publié de nombreux ouvrages sur le communisme occidental et sur l’Italie contemporaine.

Pierre Cadars, spécialiste de cinéma et de musique, ancien directeur de la Cinémathèque de Toulouse, publie régulièrement dans la revue Radici.

« Les lieux de Verdi »: Au fil des pages de cet ouvrage consacré à Giuseppe Verdi (1813-1901), vous pourrez découvrir l’itinéraire parcouru par le grand compositeur italien tout au long de sa vie. Une véritable invitation au voyage, de l’Émilie-Romagne natale aux grands théâtres italiens où il s’est rendu célèbre, en passant par l’Opéra de Paris, l’Angleterre et l’Égypte. Vous irez à la rencontre de l’homme qui passa par des déceptions, des échecs et des deuils, avant de devenir le musicien emblématique d’une Italie unie. Ce livre n’est ni tout à fait un ouvrage d’histoire, ni tout à fait un guide touristique, mais un mélange des deux. Il s’agit d’un livre sur les lieux de Verdi, qui propose un va-et-vient incessant entre passé et présent, grâce aux nombreuses informations concernant les possibilités touristiques qu’offrent aujourd’hui ces lieux, qu’ils soient célèbres ou plus intimistes, et que vous pourrez visiter vous-même.

« Résistance Italienne »: Turin, Milan, Venise, Trieste, Bologne ou Gênes, mais aussi les sentiers sinueux des Alpes piémontaises, les villages perdus de la Carnia, les carrières de marbre de Toscane ; les fermes abandonnées autrefois bases partisanes, les usines en friche sièges des premières grèves ouvrières, les immeubles de périphérie théâtres de réunions clandestines ou sinistres salles de torture. Nous voici sur les lieux de la Résistance en Italie du Nord, sur les traces des partisans, célèbres ou anonymes, qui se sont opposés à l’occupation allemande après la signature de l’armistice par le gouvernement Badoglio en 1943.

LIVRE RESIT ITA

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Fév 052015
 

Rencontre avec Antonio Moresco le mardi 3 février 2015 de 18H00 à 20H00 autour de son ouvrage: » La petite lumière », paru aux éditions Verdier. / Librairie Ombres Blanches.


Antonio Moresco est né à Mantoue en 1947. Figure majeure de la prose narrative contemporaine, il est sans aucun doute l’un des écrivains les plus inspirés et les plus délicats de la littérature italienne. Depuis les années 90, il a publié de nombreux romans, nouvelles, pièces de théâtre et essais notamment aux éditions milanaises Mondadori.

« Je suis venu ici pour disparaître, dans ce hameau abandonné et désert dont je suis le seul habitant. Le soleil vient tout juste de s’effacer derrière la ligne de crête. La lumière s’éteint. En ce moment, je suis assis à quelques mètres de ma petite maison, face à un abrupt végétal. Je regarde le monde sur le point d’être englouti par l’obscurité. »

On ne saura pas avec précision ce que fuit le narrateur de La Petite Lumière, sans doute le monde urbain contemporain, son désordre, ses dissonances, sans doute aussi une lassitude, un désarroi plus intime et plus secret.
Quand s’ouvre le roman, il est déjà là, solitaire et attentif, immergé dans ce paysage de montagnes et de forêts dont la nuit, en tombant, estompe peu à peu les contours. Anachorète sans foi et sans espérance, désorienté, chavirant ou presque alors que ce drap d’ombre s’abat sur lui et sur l’espace alentour, «… j’ai le souffle coupé, comme si je chutais assis sur une balançoire aux cordes fixées en quelque endroit infiniment lointain de l’univers ». Un pied dans le roman, un autre dans la fable, grave et circonspect tandis qu’il se tient dans cette posture d’équilibriste, ainsi apparaît Antonio Moresco, dont La Petite Lumière est le premier livre traduit d’une bibliographie nombreuse que ce mince récit, s’il a valeur d’exemple, permet d’imaginer tout ensemble méditative et d’une impressionnante vigueur.
Le trait de Moresco est net, sûr, méticuleux, tandis qu’il déploie son intrigue : un homme plongé dans une nature qui s’avère aussi chaotique, effrénée, oppressante que la ville et la foule qu’il a quittées ; une solitude peuplée par l’omniprésence du monde animal qui grouille dans le ciel et dans les sous-bois ; une paix et un silence incessamment rompus par les secousses sismiques qui font trembler la terre, la conversation des hirondelles, le fourmillement des insectes, les lucioles et les petits rapaces qui pullulent dans les feuillages, la lutte acharnée que se livrent entre eux les végétaux pour l’occupation de l’espace et, dans le sol épais, le processus invisible et inlassable d’altération, de décomposition et de renaissance d’où procède la vie. […] Antonio Moresco ne donne pas de réponse. Il se contente d’offrir à la lecture ce roman métaphysique d’une saisissante beauté, cette élégie sensuelle et inquiète, comme une fable irriguée, en ses profondeurs intouchables, par une méditation sur la place de l’homme dans l’univers. » Nathalie Crom, Télérama

MORESCOLIVRE

Oct 312014
 
Découvrez les étapes de la Résistance italienne à travers un parcours original.Un itinéraire pour parcourir un épisode fondateur de l’histoire démocratique et républicaine de l’Italie pendant la Seconde Guerre mondiale : la Résistance italienne contre les nazi-fascistes. Pour chaque étape, des informations pratiques sur les possibilités touristiques et gastronomiques.

« RESISTANCE ITALIENNE ». Turin, Milan, Venise, Trieste, Bologne ou Gênes, mais aussi les sentiers sinueux des Alpes piémontaises, les villages perdus de la Carnia, les carrières de marbre de Toscane ; les fermes abandonnées autrefois bases partisanes, les usines en friche sièges des premières grèves ouvrières, les immeubles de périphérie théâtres de réunions clandestines ou sinistres salles de torture. Nous voici sur les lieux de la Résistance en Italie du Nord, sur les traces des partisans, célèbres ou anonymes, qui se sont opposés à l’occupation allemande après la signature de l’armistice par le gouvernement Badoglio en 1943.

http://www.radici-press.net/shop/resistance-italienne/


Vendredi 6 février 2015 de 18H00 à 19H00 / Librairie Ombres Blanches: Débat avec Rocco Femia, Pierre Cadars et Marc Lazar à l’occasion de la parution du livre: la «Résistance Italienne» Editions Editalie

RADICI RESISTENZA
Oct 312014
 
Monica Zornetta, Andrea Sceresini, 20€, 218 pages. Découvrez la vie de Giuseppe Verdi dans un livre que parcours les étapes principales de sa vie.

À l’occasion du bicentenaire de sa naissance, au fil des pages de cet ouvrage consacré à Giuseppe Verdi (1813-1901), vous pourrez découvrir l’itinéraire parcouru par le grand compositeur italien tout au long de sa vie. Une véritable invitation au voyage, de l’Émilie-Romagne natale aux grands théâtres italiens où il s’est rendu célèbre, en passant par l’Opéra de Paris, l’Angleterre et l’Égypte. Vous irez à la rencontre de l’homme qui passa par des déceptions, des échecs et des deuils, avant de devenir le musicien emblématique d’une Italie unie. Ce livre n’est ni tout à fait un ouvrage d’histoire, ni tout à fait un guide touristique, mais un mélange des deux. Il s’agit d’un livre sur les lieux de Verdi, qui propose un va-et-vient incessant entre passé et présent, grâce aux nombreuses informations concernant les possibilités touristiques qu’offrent aujourd’hui ces lieux, qu’ils soient célèbres ou plus intimistes, et que vous pourrez visiter vous-même.
http://www.radici-press.net/shop/les-lieux-giuseppe-verdi/


Vendredi 6 février 2015 de 18H00 à 19H00 / Librairie Ombres Blanches: Débat avec Rocco Femia, Pierre Cadars et Marc Lazar à l’occasion de la parution du livre: « Les lieux de Giuseppe Verdi »» Editions Editalie
VERDI 2
Oct 102014
 

LA PEUR

 

Entretien et lecture, en présence de la traductrice, Muriel Gallot,
(Ultime oeuvre de De Roberto : « 1917, des soldats dans les Dolomites, entre courage et effroi ».)
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En rassemblant au sein d’un même volume deux des nouvelles les plus marquantes de Federico De Roberto ayant trait à la guerre de 14-18, les éditions Cambourakis entendent faire (re)découvrir l’un des volets les moins connus de son oeuvre au public francophone. Dans La Peur, Federico De Roberto évoque avec impassibilité la mort programmée de cinq soldats désignés successivement pour rejoindre un poste de guet, et décrit avec maestria le crescendo de la peur qui s’empare de ces soldats destinés à la mort tout en menant une réflexion intense sur la fascination du courage. Le voeu ultime, inédit en France, raconte dans une première partie – similaire à la première nouvelle de par le ton et l’ambiance – toute l’horreur de la guerre. L’auteur y dépeint l’esprit de camaraderie qui lie ces hommes voués au même destin, et dont l’acharnement à rendre à la terre le corps d’un capitaine tombé au combat rappelle l’obstination et la dignité d’une Antigone moderne, avant de changer de registre pour dénoncer avec humour et cynisme la vénalité des épouses plus intéressées par la pension de leur mari que par leur héroïsme.

 

de-robertoFederico De Roberto
Né à Naples en 1861 au sein d’une famille de la noblesse sicilienne, Federico De Roberto abandonne ses études de mathématiques et de physique à vingt ans pour se consacrer entièrement à son activité littéraire et journalistique. Fer
vent défenseur de la poésie naturaliste et vériste, De Roberto en appliquait rigoureusement les règles, portant à l’extrême l’aspect impersonnel du narrateur et l’observation rigoureuse des faits. Il se tourne progressivement vers la prose et, transféré à Milan, il est introduit par le biais de Verga dans le milieu artistique et littéraire italien. Quand éclate la guerre de 14, Federico De Roberto est trop âgé pour être envoyé au front ; cependant, entre 1919 et 1923, neuf nouvelles de guerre paraissent dans différents revues – des oeuvres engagées, soigneusement documentées et infiniment ontemporaines que l’on pourrait prendre pour des témoignages vécus. Mort en 1927, ce grand écrivain passe pour l’un des représentants les plus caractéristiques du vérisme italien, aux côtés de ses maîtres, Giovanni Verga et Luigi Capuana. Il est le maillon qui conduit à Pirandello, Lampedusa, Sciascia ou encore Consolo.

Juil 012014
 

sous la direction de Jean Gili Volume 1: du néoréalisme à l’Italie des conflits

Cette ouvrage é encore à disposition à l’Association L’Italie à Toulouse »!
Nouveau hors-série de RADICI, un livre consacrée au cinéma italien

ÉDITALIE éditions. Volume 1 / 387 pages / 35 € / Parution février 2014
POINT DE VENTE aussi à l’Association « L’Italie à Toulouse »

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Un ouvrage de référence sur le cinéma italien, avec comme grande originalité, les interviews de ceux qui ont fait ce cinéma, questionnés par des journalistes écrivains, essayistes, reporters. Ce livre n’est donc pas une nième histoire du cinéma italien, mais le cinéma et la société italienne vus et ressentis par les cinéastes.
L’iconographie particulièrment riche est, elle-aussi, originale, avec ses nombreux clichés de tournage et ses nombresux portraits.

« Le cinéma italien est sans doute celui qui a le mieux témoigné d’un peuple et qui en a exprimé les affirmations exemplaires – que l’on pense au néoréalisme –, les déchirements, les souffrances et les raisons de croire en l’avenir ».

C’est par ces mots que Jean A. Gili, introduit un livre sur le cinéma italien. Si le thème a été, et continue d’être encore largement étudié, il fait cette fois l’objet d’un traitement original, au travers d’une publication en deux volumes : un important recueil d’interviews, inédites en langue française, de celles et ceux qui ont fait le cinéma italien de l’après-guerre jusqu’à nos jours. Des entretiens menés, et c’est l’un des principaux intérêts du livre, par des journalistes qui ne sont pas uniquement des spécialistes du cinéma italien, mais de véritable « plumes », reporters, écrivains, essayistes, qui ont marqué les grandes pages du journalisme italien et international de la période : Oriana Fallaci, Alberto Moravia, Oreste Del Buono, Claudio Carabba ou encore Lietta Tornabuoni.

Il ne s’agit donc pas à proprement parler d’une « histoire du cinéma italien », ni même d’un essai critique, mais bien d’un parcours personnel et intime, au cœur des consciences, des « à-côtés », de ces grands noms du Septième art. Un recueil qui reflète – dans les réponses comme dans les questions posées – les grandes problématiques qui ont traversé la société et le cinéma transalpins. Un parcours qui fait aussi la part belle à l’iconographie, grâce à de nombreux portraits et images des tournages.

Ce premier livre aborde :

  • « Le néoréalisme » avec, entre autres, Roberto Rossellini, Giuseppe De Santis, Luchino Visconti, ou encore Totò et Anna Magnani.
  • « L’Italie du boom », autour de Federico Fellini et Marcello Mastroianni, Giulietta Masina et Claudia Cardinale ou Sophia Loren, la comédie avec Dino Risi et Mario Monicelli et les débuts du cinéma politique porté par Francesco Rosi.
  • « L’Italie des conflits » et un acteur emblématique, Gian Maria Volonté, mais aussi des réalisateurs comme Pier Paolo Pasolini, Marco Ferreri et Elio Petri, Michelangelo Antonioni ou encore le jeune Marco Bellocchio.